Historien, mémoires de la Seconde Guerre mondiale, loi Gayssot, déportation des juifs, procès Eichmann, mémoire de Vichy, rafle du Vel d'Hiv, Shoah, Maurice Papon, Robert Aron, Simone Veil, nazisme, Charles de Gaulle
L'historien travaille sur une période (Marc Ferro)en particulier, c'est un réel métier avec ses codes et ses valeurs. Il fait une confrontation des sources, il critique en travaillant avec tous types de documents et il rassemble une documentation. L'historien va ainsi élaborer une problématique, publier un ouvrage qui est critiqué par les autres historiens, qui vont vérifier ses méthodes de travail et ses sources. L'historien est donc comme un scientifique. Mais l'historien est-il objectif ? Il essaye, mais reste assez subjectif, cependant il reste sincère : c'est un grand historien s'il obéit aux grandes règles de la profession.
[...] ● 2001 : création fondation pour la mémoire de la Shoah. ● 2005 : inauguration du mémorial de la Shoah.* ● 2007 : plaque est posée au panthéon et honore les justes de France (personnes qui ont caché des juifs). ● dans les années 2000, le site qui incarne la barbarie Nazi c'est Auschwitz. Des usages mémoriels, source de nouvelles tensions : ● En 2010 : O Wieviorka : “La mémoire Désunie” il constate la multitude de mémoires de la seconde guerre mondiale, les témoins et acteurs disparaissent. [...]
[...] Les mémoires : lecture historique. Etude : l'historien et les mémoires de la seconde guerre mondiale Introduction : Réfléchir sur les mots cléfs du sujet : Historien : travail sur une période (Marc Ferro), métier (code, valeur), conforntation des sources, critique (travail avec tous types de document), il rassemble une documentation, il va élaborer une problématique, publie un ouvrage qui est critiqué par les autres historiens, vérifie ses méthodes de travail, ses sources. l'historien est donc comme un scientifique (rigueur). [...]
[...] cet ouvrage est majeur dans l'histoire de la seconde guerre mondiale. Dans cet ouvrage il révèle que la collaboration voulue par Vichy n'était pas contrainte, il en résulte ainsi que la collaboration a été active et volontaire. Dans son ouvrage il évoque le premier statut des juifs, les citoyens français juifs avaient moins de droit que les autres citoyens, c'est une règle imposée par VIchy. DAns les mémoires immédiates, les collaborateurs expliquent que ce n'était de leurs choix mais que c'était imposé par les allemands. [...]
[...] sentiment d'avoir un France qui a su faire face à l'occupant. Parallèlement certains tentent de réhabiliter la mémoire de Vichy : ● beaucoup de partisan de pétain, pas de la collaboration mais de l'homme (l'épuration a eu lieux), ● 54 : Robert Aron = cet historien développe l'idée (texte à l'appui) qu'il n'y avait pas d'autres choix possibles que la collaboration (armistice), Pétain servait de bouclier pour défendre les Français et De Gaulle le glaive. ceux qui n'aiment pas de GAulle se retrouvent dans ce livre. [...]
[...] Historien se posent encore la question, “caporalisation de la mémoire”. les communistes ne sont pas d'accord. Séquence 1 : Le rapport des sociétés à leur passé. Conclusion : on passe désormais dans une mémoire vitimaire. [...]
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