Religion, histoire des religions, églises occidentales, désordre mondial, union sacrée, facteurs de distanciations, syncrétisme, oecuménisme
Le religieux a ressurgi depuis le 11 septembre et il serrait partout en terre sainte, dans les schismes, dans les terrorismes, etc. Le religieux est un peu partout dans les sociétés, politique, dans les questions de laïcité, etc. Et entre les deux comme ci il aurait connu une éclipse, alors c'est une vision fausse. Il n'y a pas un temps plein et un temps vide qui serait du religieux. Le religieux n'est pas un facteur unique, mais il peut être instrumentalisé comme au moyen âge. Il peut y avoir des discours qui instrumentalisent le religieux. Le religieux dans les conflits est un pouvoir géopolitique et pas que spirituel. Le religieux n'est pas uniquement confessionnel. Le facteur religieux préexiste au religieux bien marqué existant. Il y a un certain nombre de fonctions religieuses. Ces fonctions religieuses peuvent être plus ou moins investies par les confessions historiques, on peut les christianiser, et peut prendre un discours catholique, protestants, orthodoxe, musulman, pour légitimer le sacrifice qu'il fait. Mais ce qui est dessous la fonction religieuse qui est sacrifiée.
[...] Le religieux dans les conflits est un pouvoir géopolitique et pas que spirituel. Le religieux n'est pas uniquement confessionnel. Le facteur religieux préexiste au religieux bien marqué existant. Il y a un certain nombre de fonctions religieuses. Ces fonctions religieuses peuvent être plus ou moins investies par les confessions historiques, on peut les christianiser, et peut prendre un discours catholique, protestants, orthodoxe, musulman, pour légitimer le sacrifice qu'il fait. Mais ce qui est dessous la fonction religieuse qui est sacrifiée. [...]
[...] Donc le contexte de la victoire de 1918, ne règle rien, il maintient une atmosphère européenne empoisonnée. C'est dans ce contexte que des relèves apparaissent et va qui vont s'achever dans l'éclatement dans divers courant religieux séculière. Il y a quand même des effets à long terme de cette guerre. Tout le monde a prouvé avec le sang versé sa valeur de patriotisme. A partir de la guerre de 1914, cela devient peu à peu consensuel, la laïcité, l'espace commun vont devenir un pacte d'un consensus majeur et on voit comment se détente les relations en France entre l'Église et la République. [...]
[...] Il y a eu une distance de la papauté romaine. Le pape a changé, les cardinaux se regroupent pour élire son successeur qui est Benoit XV (1914- 1922). Donc Benoit XV, devient pape au commencement de la guerre et va multiplier les initiatives pour empêcher qu'elle s'élargisse. Mais elle devient mondial avec l'Italie, il multiplie les initiatives pour l'arrêté en proposant différents médiations entre la France et l'Allemagne. Il va se positionner comme un père commun pendant toute la guerre, en refusant d'opter à un des camps. [...]
[...] Benoit XV a eu des relais mais pas suffisamment pour faire entendre ses paix ou médiations. Mais tout le monde sait qu'il ne bénissait pas les conflits, les discours de croisade, les guerres, on l'a appelé un pape boche. L'opinion publique va réagir de manière négative. Le Père Sertillanges, va faire un grand sermon à la Madelaine, ou il fait un discours sur le pape très poli. Echec des plans de médiation de la papauté, donc il prend sa distance avec la guerre. [...]
[...] Donc, il y a des visionnaires dans la foulé. Officiellement, la France a tenu dans la laïcité, mais ceci dit au niveau officiel n'empêche pas, au niveau local ou amical des relations, beaucoup de choses vont changer dans l'état d'esprit, dans la situation religieuse de la France. Au niveau local, par exemple dans toutes les régions de catholicité, les mères prennent sur eux ce que l'état ne fait pas. Elles peuvent le faire au niveau de leur commune, elles ont consacré leurs communes au saint cœur. [...]
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