GMO Groupe des Maisons Ouvrières, coopératives et les maisons ouvrières, coopérative ouvrière, Caisse des dépôts et d'épargne, sociétés anonymes, social, coin du feu, jardin des Tuileries, consensus républicain, exode rural, loi de 1912, libéralisme intégral, milieu urbain, reconnaisse d'utilité publique, réflexion programmatique, Immeuble du groupe des maisons ouvrières, Auguste Labussière, fondation Rothschild, Georges Picot, Eugène Hénard, rue de Prague, Louvre de l'habitat social, l'immeuble de la rue Trétaigne
Le 30 novembre 1894, la loi Siegfried est votée. Elle dit que l'État doit soutenir la création de comités départementaux, l'exonération d'impôt pour les logements à bas loyer. Les sociétés anonymes ne doivent pas dépasser les 4 pour cent de rentabilité pour bénéficier de la baisse d'impôt. On va autoriser la Caisse des dépôts et d'épargne à prêter des capitaux aux constructeurs. Les sociétés anonymes doivent faire approuver leur statut par le ministère du Commerce. On va faciliter les prêts pour la construction d'habitation bon marché. Ce qui rentre dans le cadre de cette loi c'est l'accession à la propriété, la mise en location aussi. On retrouve l'idée d'améliorer les logements existants. Les promoteurs pensent qu'une fois les obstacles levés, les hommes iront individuellement faire leur progrès, ils réaliseront leur ascension sociale. Il y a un optimisme dans le changement. Le progrès est social.
[...] Ce sont des logements avec des dégagements, ce qui permet une distribution des pièces de vie, ce qui permet d'aménager des pièces dans l'idée de repartir, d'identifier e d'avoir plus d'intimité à la chambre. Cela donne une fonction à chaque pièce. Il y a une cuisine séparée et des WC. On a de grands logements > à la moyenne HBM. On a une vocation populaire. Le bar et la place ont une place importante dans la vie sociale. On a aussi des locaux des coopératives nommées « prolétarienne » au RDC. Dans cette coopérative ont une épicerie, une buvette, une université populaire et un restaurant hygiéniste. [...]
[...] : fonctionnement en réseaux en autarcie. Il va renfermer les réseaux et flux dans les sous-sols : il pense à la ville sur plusieurs niveaux. C'est un circuit qui distribue les fluides nécessaires à la vie moderne. On aurait une plus grande densité d'occupation du sol avec un meilleur ensoleillement. Ex. : Groupe de la fondation Rothschild, rue de Prague, Paris, Adolphe-Augustin Rey La fondation va lui imposer certaines règles qu'il va refuser. Un autre architecte prend sa place. On a des cours ouvertes. [...]
[...] On va chercher à raccorder le logement aux flux et aux réseaux. Ex : Eugène Hénard « rue future » et boulevard à Redans, 1900-1905 Il convient de raccorder le logement au flux, aux réseaux. C'est un des enjeux pour le modernisateur. Il y a la fonction de changer la société et le monde. Il participe aux expositions universelles et c'est dans ce cadre qu'il va réaliser ses premiers plans qui participent à sa réflexion. Le monde urbain doit être façonné. [...]
[...] Des recherches vont être menées sur la doctrine et la pratique du logement social. On ne pense pas de la même manière en milieu urbain que dans la construction d'une nouvelle ville. Le groupe des maisons ouvrières (GMO) La recherche de HBM est consécutive de la ville : certaines initiatives à paris ont été étudiées grandes formations vont mener ses recherches : Labaudy et Rothschild. Groupe des maisons ouvrières (GMO) est créé. Les statuts de cette société civile sont changés en fondation en 1905. Elle obtient la reconnaisse d'utilité publique. [...]
[...] La loi du 23 décembre 1912 permet aux pouvoirs publics de créer des offices publics : c'est un outil pour créer des HBM sur leur territoire. Paris lance un concours pour des HBM avant la création de son office. Labussière va établir le programme du concours et av même être membre du jury. Ex. : Immeuble de la rue Becque, Georges Albencque et Eugène Gonnot, 1913-1922 Il va être mis en place par le type de logement, le plus simple, destiné aux très bas revenus. L'entrée se fait par la salle commune (cuisinière). [...]
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