histoire des institutions, de 1814 à la IIIe République, ancien régime, Monarchie de Juillet, Seconde République, Napoléon
La chute de l'empire était prévisible en 1813, Napoléon 1er dit : « la révolution ou plutôt les idées qui sont faites reprendront leur cours, cela sera comme un libre qu'on ôtera le signet en recommencent la lecture à la page où on l'avait laissé ». Cet aveu est un constat d'échec, lorsqu'il avait fait ce coup d'État (bru_çmaire en 8), il avait dit que la révolution était terminée et que la révolution est fixée au principe qui l'a commencé (principe de 1789). Il promet de clore la révolution. Il se rend compte qu'il a échoué, car son régime n'a pas réussi à s'enraciner dans le pays. Il y a bien un ordre et un calme politique apparent, mais cela résulte en réalité de l'autoritarisme de ce régime dans cette dernière année. Donc il admet que son régime n'a été qu'une parenthèse et il est convaincu que quand il va disparaitre politiquement, la révolution reprendra son cours, ainsi il est juste là pour suspendre la révolution.
[...] Il exerce bien sur des prérogatives régaliennes comme le droit de grâce. Il peut également proclamer l'état de siège mais pour ça il en faut référer au sénat (juste le lui dire). C'est la justice militaire qui devient à partir de la compétente. Dans la sphère législative, comme en l'an il faut que le chef de l'État ait le champ libre. C'est très simple, l'article 8 de la constitution prévoit que : le chef de l'État a seul l'initiative des lois. [...]
[...] Cet attentat va entrainer : la mort du coupable une loi de sureté générale contre les républicain : on surveille et on enforme mais cet attentat va surtout pousser Napoléon a soutenir Cavour et faire en sorte que l'indépendance soit fait par les modérés et surtout pas les républicains. Le marché avec Cavour va se faire dans le plus grand secret, el marché est très simple : le France aide le royaume de piémont Sardaigne a récupérer deux provinces italienne : Lombardie et Vénitie en échange de quoi la France recevra Nice et le conté de Savoie. C'est donc revenir au frontière de 1814. [...]
[...] Le 26 juin au soir, les derniers insurgés se rendent et CAVAIGNAC peut proclamer que l'ordre a triomphé de l'anarchie. Cependant la facture est lourde ! 1.500 morts côté des forces de l'ordre 5.000 du côté des insurgés 25.000 arrestations en 3 jours o 5.000 jugés pour la prisons ou déportation (Algérie) Le plus lourd ce sont les conséquences politiques 2 Les conséquences politiques des journées de juin Cette courte guerre civile a été une guerre civile féroce car elle laisse dans les deux camps des souvenirs qui seront des souvenirs difficiles à effacer. [...]
[...] Cet ordre du jour motivé est un vote de défiance, un blâme. Les chambres ne sont pas capable encore de renverser le gouvernement avec l'interpellation mais cela signifie qu'on lui manifeste sa défiance, c'est au roi ensuite de prendre la décision et au final c'est le parlementarisme à la française : double responsabilité du gouvernement devant les chambre et le roi. - Parallèlement le gouvernement va développer une technique pouvant aboutir à sa chute : la question de confiance : le gouvernement lui- même choisi de mettre en jeu sa responsabilité. [...]
[...] Voilà pourquoi ce régime qui a commencé par être une démocratie autoritaire, une démocratie dictatoriale a été contraint d'évoluer surtout à partir de 1860 pour se transformer progressivement en un régime devenu libéral et quasi parlementaire Du principat napoléonien à l'empire autoritaire Le principat est une référence évidente à l'empire romain et surtout à son fondateur : Otave auguste qui lui aussi a fait un coup d'État contre les institutions de la République au prétexte de rétablir la république. Octave auguste est un modèle pour Napoléon. En effet, durant la première année on ne sait pas si on est encore dans la République ou si on a basculé dans l'empire. [...]
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