Turing, Shannon, Arpanet, Thomas More, histoire d'internet, Paul Outlet, Vannevae Bush, Engelbart, Ted Nelson, machine analytique de Babbage, machine de Turing, Jobs, Wozniak, Ronald Wayne, contre-histoire
Le texte explore l'évolution des outils, des idées et d'internet. Il est présenté à la fois l'histoire conventionnelle et les perspectives alternatives.
[...] Peer to peer : empowerment Les ados s'en emparent vite d'internet. Endroit rêvé contre les censures parentales. Recrutement des premiers hackeurs par les armées ou les services secrets pour aider ces institutions à apprendre sur le sujet. Ou travailler pour eux Une communauté qui a beaucoup éclaté : s'est dirigée vers le logiciel libre plutôt que la bidouille. Chaos Computer Club. L'ordinateur est ou outil pour résoudre collectivement des problèmes. Moins de concentration des pouvoirs. But pacifique. Des personnes qui discutent ne se tirent pas dessus. [...]
[...] Histoire et contre-histoire d'Internet Une histoire des outils. Chauvin aurait pu choisir de traiter le cours en faisant une histoire des outils à travers plusieurs dates importantes : 1936 : La machine de Turing, machine automatisé utilisé pour faire des calculs 1946 : Création de l'ENIAC : le premier Ordinateur 1969 : La naissance d'Arpanet, l'ancêtre d'Internet. ARPANET ou Arpanet est l'acronyme du premier réseau à transfert de paquets de données conçu aux États-Unis par la Défense Advanced Research Projects Agency : Apparition de la TCP-IP. [...]
[...] Le déploiement du réseau ARPANET a connu : une période de croissance. En sites sont connectés. En sites sont connectés. On observe une augmentation du trafic et des connexions internationales. Les usages sont la messagerie, le transfert de fichiers, la recherche de documents, la possibilité d'un libre espace d'échange et de ressources. des périodes de crise. En 1980, ARPANET redevient un enjeu militaire. Il est scindé en trois réseaux indépendants : le MILnet (réseau militaire), le DDN (le réseau de défense, le NSFNET : le réseau universitaire. [...]
[...] Une utopie est d'abord une fiction. Cette fiction fonctionne bien parce qu'elle repose sur deux principes : Le principe d'espérance. Un autre monde est possible. On produit en réaction à cette société bloquée, un récit de transformation. le principe de la critique. La critique est d'être capable de remettre en question. On est dans l'idée que l'utopie va mettre en évidence la nécessité et la possibilité de changement. L'utopie renvoie aussi à la production d'un récit d'utopisation. On travaille à la réceptivité du message. [...]
[...] L'auteur est intéressant car il est contemporain de Machiavel. Il est à la fois juriste, historien, philosophe et théologien. Son positionnement est politique puisque c'est dans un contexte de crise qu'il développe ce concept. La crise concerne l'enclosure, c'est-à-dire la suppression des biens communs. C'est le début de la propriété privée. Dans ce bouquin, deux parties : La première partie est un réquisitoire. On met en évidence par le discours qu'on est dans une société injuste, ravagée par le chômage, la misère et violence. [...]
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