Mercantilisme, physiocraite, Economie libérale, Marx et le prolongement de la théorie classique.
Fin du 15ème siècle, apparition des grandes politiques économiques avec l'apparition de l'Etat.
La théorie de Marx n'est pas à lire de façon dogmatique, excellent observateur du libéralisme industriel britannique.
Etude de la naissance de l'économie politique au 16ème siècle.
Puis, nous aborderons l'affirmation de la doctrine libérale.
Pour ensuite traiter la remise en question de ces pensées par l'approche socialiste.
Définition de l'économie : (étymologie : oikonomia ; oikos « maison », tout ce qui est sous l'autorité d'un chef de famille, unité économique où l'on recourt à des esclaves pour faire vivre cette unité, omia : gouvernement de la gestion du domaine familial.
Dans l'antiquité, la définition de l'économie se résume à la gestion de la maisonnée de la famille).
A l'époque chrétienne médiévale dominée par les normes de l'Eglise chrétienne, on se retrouve face à une régulation de l'économie faite par l'Eglise ; laquelle va imposer certaines règles dont l'une est que le bénéfice est suspect.
[...] Pour Grotius, c'est un droit immuable et se retrouve en faisant usage de sa raison. Droit qui place au centre des préoccupations l'individu, lequel se trouve doté d'un capital naturel qui lui permet d'exercer librement son consentement. En matière économique, ça veut dire que l'économie est régit par des mécanismes naturels qu'il ne faut pas perturber et auxquels on ne doit pas s'opposer. De plus, la nouvelle doctrine économique va recentrer l'analyse économique en étudiant maintenant les interdépendances qui existent au sein d'une économie nationale sans se focaliser sur la seule balance extérieure. [...]
[...] Petite histoire des grandes doctrines économiques (très pédagogique). Introduction Etude de la période économique moderne ; Fin du 15ème siècle, apparition des grandes politiques économiques avec l'apparition de l'Etat. La théorie de Marx n'est pas à lire de façon dogmatique, excellent observateur du libéralisme industriel britannique. Etude de la naissance de l'économie politique au 16ème siècle. Puis, nous aborderons l'affirmation de la doctrine libérale. Pour ensuite traiter la remise en question de ces pensées par l'approche socialiste. Définition de l'économie : (étymologie : oikonomia ; oikos maison tout ce qui est sous l'autorité d'un chef de famille, unité économique où l'on recourt à des esclaves pour faire vivre cette unité, omia : gouvernement de la gestion du domaine familial. [...]
[...] Finalement la pensée de Locke qui arrive avec la monarchie va justifier l'ordre existant avec une inégalité naturelle des fortunes et une reconnaissance du caractère naturel de la propriété qui implique la liberté des échanges commerciaux. D'une certaine façon cette pensée préfigure l'une des bases du libéralisme à l'époque d'A. Smith et ce de façon paradoxale car Locke se reconnaît derrière les mercantilistes. Boisguillebert opposant à la doctrine colbertiste. Car celle-ci selon lui a conduit la France dans une faillite (baisse de circulation des métaux précieux et mauvaises récoltes). [...]
[...] La solution est de promouvoir une politique libérale d'où son énoncé sur le libéralisme économique. Or l'insuffisance de la conso cause fondamentale de la crise nécessite que l'on renonce l'économie agricole car ce secteur est fondamental. Pour se faire il faut agir dans deux domaines : -procéder à une réforme fiscale notamment en diminuant les aides (taxe payée sur une vente au détail) et d'élargir l'assiette de la taille (sorte d'impôt sur le revenu) laquelle devra être payée par tout le monde et son taux devrait être unifié. [...]
[...] Le gros problème c'est de présenter cette évolution comme obéissant à des lois car pour lui c'est une loi qui explique cette évolution, cette loi a un caractère scientifique parce que l'histoire n'a pas de loi (ya de sens de l'histoire). Quels sont les thèmes abordés par Marx ? -Marx reprend à Ricardo l'idée de valeur travail car c'est la source unique de la mesure de la valeur de marchandise. Il affirme que le capital a une valeur improductive. Marx opposera le capital constant et le capital variable (à savoir les sommes destinées au paiement des travailleurs, tout le reste est du ressort du capital constant). La production repose donc exclusivement sur le capital variable. [...]
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