Cours semi-rédigé d'Histoire sur la société en France dans la 2ème moitié du XXème (niveau collège, lycée, faculté ou CRPE).
[...] L'écart se creuse entre la population urbaine et celle rurale. Ceux qui s'attachent au passé s'opposent aux partisans d'une modernisation de la France. Modernisation de l'économie française au début de la 5ème République. Conjoncture mondiale favorable, bas prix du pétrole, baby-boom forte démographique, plein emploi : forte augmentation de la consommation. La planification incite la modernisation de l'appareil productif. De Gaulle veut une monnaie forte. Création du nouveau franc Modernisation de l'agriculture. Mécanisation et disparition des petites exploitations, exode rural. [...]
[...] Répartition de la population active en France : importance du secteur tertiaire. L'immigration en France : Premier tiers du 20ème immigrés viennent pour la plupart des pays européens (Italie, Espagne, Pologne). Arrivées d'autres continents après la Guerre ; Maghreb et anciennes colonies françaises. Solde migratoire annuel positif de à personnes jusqu'en 1962 où il atteint avec l'arrivée des rapatriés d'Afrique du Nord. Depuis les années 70, population de plus en plus éloignées comme l'Afrique noire ou l'Asie des étrangers vivent dans les agglomérations urbaines. [...]
[...] La crise depuis 1974 et ses effets sur la vie sociale : Dès 1968, croissance faiblit, augmentation du chômage. Concurrence des pays du tiers monde. Faible coût de la main d'œuvre. Multiplication des emplois précaires, fermeture progressive des frontières aux immigrés. Désertification des campagnes. Revenus des ménages baissent et paupérisation accélérée càd appauvrissement continu. Crise instaure de nouvelles formes d'exclusion et de pauvreté : restos du cœur, RMI, CMU Facture sociale Les progrès scientifiques et techniques bouleversent les activités industrielles, rapides, connaissances ont largement progressées : CNRS. Perfectionnement de la maîtrise du nucléaire. [...]
[...] Classe moyenne salariée s'accroît (moitié des actifs) : employés, cadres, privés ou publics, ingénieurs Taux de population urbaine passant de 53µ en 1946 à 72% en 1974. Bonds de constructions immobilières millions de logements construits. Les frais profitent de leurs revenus. Affirmation de l'individu et de l'épanouissement personnelle. Eclatement de la famille traditionnelle (sexualité libérée, autorité différente des parents, éduction plus libérale). Les femmes acquièrent une nouvelle place dans la société ; droit de vote en 1944. Mixité scolaire. Tâches ménagères facilitées par les progrès. Le travail des femmes se généralise, mouvement féministe. Les limites de la prospérité : Croissance inégale. [...]
[...] Politique d'intégration processus inscrit dans la durée qui implique la participation effective des individus aux différentes formes de la vie en société, le respect des valeurs partagées, l'adhésion à des règles de fonctionnement). I. La société durant les 30 glorieuses : Une période de prospérité (1945-1974) : Croissance extraordinaire. Baby-boom amenant un surcroît immédiat de demande. Esprit d'entreprise. Progrès scientifique = naissance de nouvelles activités et rajeunissement des anciennes. Concurrence étrangère. Mise en place du néocapitalisme. Large intervention de l'état et concentration des entreprises. Orientation de l'économie par une planification incitative. Avantages sociaux. Concentration des entreprises en conglomérats ou en firmes. On ignore les frontières. [...]
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