Alpinisme, alpinisme sportif, Cervin, montagne, exploit scientifique
C'est en Angleterre qu'est fondé le 1er club d'alpinisme en 1857. Il s'agit du club alpin de Londres ce n'est donc pas les populations montagnardes qui ont inventé l'alpinisme mais les riches bourgeois libéraux anglais. En 1854, à la 1ère ascension du Cervin en 1865 c'était ce qu'on a appelé l'âge d'or de l'alpinisme. Et cet âge d'or est essentiellement britannique. Ainsi de 1854 à 1874 les Anglais réalisent les 1ères de 53 sommets alors que les alpinistes des autres pays n'en réussissent que 15. A partir de 1860, les autres pays européens fondent à leur tour des clubs alpins mais pour autant ce sont les Britanniques qui en réalisent le plus. La question ici est de savoir quelle sont les valeurs qui sont associées à cet engouement des clubs aisés pour la montagne.
[...] Il n'est pas le seul à s'aventurer en montagne des naturalistes des physiciens des géologues gravisse quelques sommet sans pour autant atteindre la célébrité. Hors mis ces entreprise couteuse ne sont tenté que par quelques originaux. L'invention de l'alpinisme sportif. Entre 1850 et 1860, la montagne devient un loisir gratuit pour l'élite social britannique. Leur pratique dans la montagne évolue et progressivement le but des nouveaux alpinistes devient la réalisation du plus grand nombres d'ascensions. Le mont blanc en particulier est de plus en plus gravi. [...]
[...] Histoire de l'alpinisme au 19ème siècle. C'est en Angleterre qu'est fondé le 1er club d'alpinisme en 1857. Il s'agit du club alpin de Londres ce n'est donc pas les populations montagnardes qui on inventé l'alpinisme mais les riches bourgeois libéraux anglais. En 1854, a la 1ère ascension du Cervin en 1865 c'étant ce qu'on a appelé l'âge d'or de l'alpinisme. Et cet âge d'or est essentiellement Britannique. Ainsi de 1854 a 1874 les anglais réalise les 1ères de 53 sommets alors que les alpinismes des autres pays n'en réussie que 15. [...]
[...] De fait il existe un lien entre la conquête des Alpes et l'empire coloniale britanniques. Les alpinistes savent engager un guide nouer des contacts avec une bourgeoisie austères autant de savoirs faire qui sont le fruit d'une longue expérience des classes dirigeantes britanniques. Certaines techniques inventées dans les Alpes et reconnu par l'alpin club seront transmises à la société royale qui les fait directement employer en Inde. Cependant les alpinistes eux même fréquentes peu cela, l'alpinisme en tant que pratique se conforme donc aux conditions sociales économiques et politiques d'une classe sociale particulière et d'une époque. [...]
[...] L'arrivée de nouveaux alpinistes va changer ce système et dans un premier temps les anglais choisissent de changer de guide. A partir de 1910 il semble obligatoire ou systématique de prendre un guide et celui-ci n'est qu'n employé alors que maintenant le guide choisit de oui ou non partir. Le rapport au corps Le récit des courses racontent les efforts endurés par le corps et insiste sur sa soumission à l'effort, c'est donc l'effort volontaire qui est valorisé finalement il soumet le corps à l'esprit au force morale et il est perçu comme une machine et notamment comme sur le modèle de la locomotive à vapeur. [...]
[...] Le rapport aux autres. Contrairement aux autres tours anciens l'alpinisme est dominé par la logique. Si les premiers alpinistes exaltent, ils grimpent seul avec leur guide. En général l'alpiniste décide du projet et du but à atteindre mais pour la préparation et la réalisation il s'en remet à son guide. Il y a donc une division du travail entre d'un côté la décision avec ses qualités associées et de l'autre il y a la connaissance du milieu et de la technique. [...]
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