La Deuxième Guerre mondiale est une guerre totale, même l'Amérique latine fournit la matière première nécessaire. Toute l'économie est mobilisée dans l'effort de la guerre. La brutalisation de la société atteint une nouvelle ampleur avec le génocide de populations comme les juifs (6 millions), les tziganes (500 000) ou les homosexuels. Les bombardements sont stratégiques : aériens et massifs, cherchant d'abord à gêner les communications et les approvisionnements adverses ain si que les grandes villes. En outre, les bombardements atteignent le maximum de leur efficacité avec notamment la bombe atomique (...)
[...] En Pologne, la guerre a anéanti de l'équipement ferroviaire et des entreprises industrielles. Ces destructions qui s'ajoutent au pillage au pillage nazi perturbent l'approvisionnement des populations. LA CRISE FINANCIERE Il y a une forte inflation, une hausse des prix, et des déficits budgétaires énormes. Le rationnement des vivres et le marché noir persistent donc bien après la fin de la guerre. Ce qui renforce la suprématie des Américains qui possèdent 2/3 des réserves du 5 stock d'or mondiale. En juillet 1944 lors de la conférence de Bretton-Woods, les Américains parviennent à faire du dollar l'étalon monétaire international (parité fixe avec l'or). [...]
[...] Le système soviétique et le rôle dirigeant du Parti ne sont pas remis en cause. La propagande ranime même les mythes révolutionnaires. En 1964, les difficultés économiques et internationales de l'URSS ainsi que l'hostilité des cadres du PCUS à une politique menaçant leurs privilèges entraînent la destitution de Khrouchtchev. Nikita Khrouchtchev impose alors une direction tripartite jusqu'en 1964, il sera ensuite remplacé par Léonid Brejnev de 1964 à 1982. Dès que Staline meurt, la terreur disparaît, le culte de la personnalité aussi. La situation économique est difficile. [...]
[...] La réforme de l'ONU évoquée à plusieurs reprises sans cesse retardé. Il est notamment question d'élargir le conseil de sécurité à 25 membres contre 15 actuellement en intégrant comme membres permanents des pays comme l'Inde, l'Allemagne, le Japon ou encore le Brésil. Cependant les pressions américaines et la rivalité entre états africains qui ne veulent pas que leurs voisins que accède sans eux au conseil de sécurité ont raison de la réforme. Ainsi, l'ONU n'échappe pas aux luttes d'intérêts entre états et se heurte également à l'hégémonie américaine. [...]
[...] La lutte contre Israël en devient le principal ciment. Nationalisme exploitation politique du sentiment national. New Deal nouvelle donne politique du président des Etats-Unis, Franklin D. Roosevelt, qui tente, entre 1933 et 1938, de résoudre la crise économique par une forte intervention de l'Etat. Nomenklatura liste des postes importants attribués seulement avec l'accord du Parti ; au sens large, personnes figurant sur la liste et bénéficiant de privilèges. Nomenklatura liste des postes importants attribués seulement avec l'accord du Parti ; au sens large, personnes figurant sur la liste et bénéficiant de privilèges. [...]
[...] Le 6 octobre 1973, le jour du Grand pardon (Yom Kippour), la date la plus sacrée du calendrier juif, les Égyptiens franchirent le canal de Suez et attaquèrent les Israéliens dans le Sinaï. Au nord, les Syriens lancèrent une offensive sur le plateau du collant. L'aviation 24 irakienne apporta son concours à l'Égypte et à la Syrie. Les palestiniens de l'organisation de libération de la Palestine (O. L. mouvement pour la libération de la Palestine créée en 1964 et dirigé par Yasser Arafat, et des unités jordaniennes participèrent aux combats. Face à cette puissante coalition arabe, les Israéliens organisèrent une contre-offensive et parvinrent à maîtriser la situation après 10 jours de combats. [...]
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