Espagne, Franco, guerre civile, coup d'État militaire, bataille de Madrid, régime autoritaire, répression, Union soviétique, camp républicain, communisme
Il est difficile aujourd'hui de dresser un bilan objectif et détaché de la guerre civile en Espagne. Cette guerre ne peut pas être réduite à un simple affrontement entre deux camps homogènes. Bien qu'il y ait eu des alliances formées pendant la guerre, celles-ci se sont rapidement brisées après le conflit, ce qui montre qu'il n'y avait pas une division claire en deux blocs.
Il est important de souligner l'impact international de cette guerre civile. Le parlement européen a pris des positions politiques à son sujet. L'Italie et l'Allemagne ont fourni une aide aux insurgés en envoyant des soldats et du matériel de guerre, tandis que la République espagnole ne recevait d'aide que de la part de Staline et de l'Union soviétique. Le fait que l'Union soviétique soit le seul pays à soutenir le camp républicain a renforcé l'idée d'une présence communiste au sein de ce camp.
[...] La guerre civile espagnole était désormais engagée, opposant les forces des insurgés à celles des partisans de la République. Les organisations représentant les mouvements ouvriers ont réagi en créant des milices populaires pour résister aux insurgés et ont demandé des armes aux autorités républicaines. Cependant, les autorités républicaines ont refusé de fournir des armes aux milices, ce qui a été considéré comme une erreur. Les insurgés ont réussi à prendre le contrôle de certaines régions, telles que la Nouvelle-Castille (Tolède) et la Galice (Saint-Jacques-de-Compostelle). [...]
[...] En résumé, la guerre civile en Espagne ne peut pas être simplifiée en un conflit entre deux camps homogènes. Les alliances formées pendant la guerre se sont rapidement dissipées, montrant ainsi la complexité de la situation. De plus, cette guerre a eu des répercussions internationales, avec différents pays prenant position et fournissant une aide aux différents camps. L'aide de l'Union soviétique au camp républicain a renforcé l'idée d'une présence communiste dans ce camp. Le coup d'État 18 juillet Le coup d'État de Franco en 1936 a profondément divisé l'Espagne en deux camps. [...]
[...] Au sein des forces républicaines, les communistes espagnols étaient fortement représentés et constituaient l'une des forces politiques les plus organisées et actives du camp républicain. Ils ont joué un rôle important dans la création et l'organisation de l'Armée populaire de la République espagnole. [...]
[...] Colon de la Mort = La "Colonne de la Mort" (Columna de la Muerte en espagnol) était une unité militaire de l'armée franquiste pendant la Guerre civile espagnole (1936-1939), commandée par le général Juan Yagüe. Cette colonne a acquis une triste réputation en raison des atrocités qu'elle a commises contre les partisans du gouvernement républicain. Les membres de la Colonne de la Mort ont commis de nombreux actes de violence, notamment des exécutions sommaires, des viols, des pillages et des incendies de villages entiers. [...]
[...] L'aide internationale a également joué un rôle crucial dans le conflit. Certains pays, tels que la Grande-Bretagne et la France, ont cherché à éviter de froisser l'Allemagne nazie et ont préféré ne pas s'impliquer directement dans le conflit, ce qui a entravé les efforts du camp républicain pour obtenir une assistance efficace. La droite britannique, en particulier, a montré de la sympathie envers les insurgés, car ils luttaient contre le communisme, ce qui a compliqué la situation pour le camp républicain. [...]
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