géographie, conflits armés, début, XXIe siècle, causes
Hérodote au Ve siècle : importance de la géographie du champ de bataille pour
trouver « un terrain fortifié par la nature ». L'apport de la géographie pour décrypter les facteurs et les causes de conflictualités s'avère très utile. Le raisonnement géographique met en relief rapports de force, rivalités de pouvoir sur les territoires.
Un conflit, l'expression d'une rivalité : conflit vient du latin conflictus qui signifie
choc. Un conflit apparait lorsque deux hommes ou deux groupes sont en compétition. Il exprime donc une rivalité autour d'un espace ou d'un objet. L'issue du conflit : violence, compromis, accord ou changement.
[...] Leur vente permet d'acheter des armes : exemple en Sierra Leone vente des diamants 1990's au Libéria et Angola pour financer l'UNITA. IV - Le facteur identitaire et religieux : une clef de lecture opératoire des conflits ? 1. Le vecteur linguistique 5000 à 6000 langues sont parlées. 2lement de différenciation nationale et d'affirmation identitaire. Frontières linguistiques correspondent rarement aux frontières des états (ex : guerre sur l'Alsace-Lorraine). Langue est avec le territoire l'un des deux facteurs qui fondent l'identité nationale La religion facteur de conflictualité Religion et identité : religion est un identifiant majeur des peuples et des populations. [...]
[...] La ZEE et le PC sont des abstractions nées du droit et une annexion est en théorie impossible. Avec la décolonisation et la chute du bloc soviétique, les grandes puissances maritimes se sont heurtées à de nouveaux états côtiers. Les puissances voulaient défendre la liberté des mers et les nouveaux littoraux voulaient agrandir leurs territoires et être présent à la mer comme le sont les puissances. Ces nouveaux états n'ont pas les moyens de se projeter. Aujourd'hui les avancées techniques et l'exploitation poussent les états à aller plus loin et plus profond. [...]
[...] En Amérique latine des frontières négociées après l'indépendance. C - Le rôle de l'ONU Après la 1ère GM droit des peuples à disposer d'eux-mêmes et a atteindre une autonomisation par la création de nouvelles frontières. Après 2ème GM ONU. Dans certaines crises les affaires internes d'un état peuvent être prises en charge par la communauté internationale. Trois circonstances : quand une communauté cherche à faire sécession réclamant sa liberté nationale dans des frontières reconnues, pour protéger des frontières violées (Invasion du Koweit en 1991 par l'Irak), en cas de violation massive des droits de l'homme. [...]
[...] Elle est au service des pouvoirs publics. La préservation organise un réseau d'acteurs, individuels et communautaires privés, au service de la protection de la nature, mais dont les idéologies et ramifications politiques avec la sphère publique finissent par se rejoindre autour de projets communs. Depuis la fin de la 2ème GM, des ONG et réseaux d'associations dont la filiation idéologique avec la préservation et la conservation est plus ou moins évidente et inter-reliée (IUCN, WWF). Grande nouveauté : mise en réseau et coordination à l'échelle mondiale des préoccupations concernant la nature. [...]
[...] A - Conflits anciens non réglés Dans bien des cas, le tracé des frontières ne permet pas de supprimer le conflit mais l'attise. La séparation témoigne des heurts passés et nourrit les incompréhensions. Souvent des conflits demeurent car les parties en présence sont prises dans un jeu d'influences qui les dépasse. Proche-Orient emblématique, la question des frontières y demeure une poudrière. L'établissement de nouvelles frontières est censé offrir une issue du conflit mais parfois en stimule de nouveaux. La séparation n'étant pas radicalement possible, la fragmentation peut se poursuivre comme dans le cas de la Serbie et du Kosovo. [...]
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