Seconde Guerre mondiale, Histoire, Résistance, Charles De Gaulle, maréchal Pétain, Première Guerre mondiale, Allemagne, Nazi, Union soviétique, Hitler, Rafle du Vélodrome d'Hiver, déportation, totalitarisme, Auschwitz, Winston Churchill, Jean Moulin, CFLN Comité Français de Libération Nationale, STO Service du Travail Obligatoire
Assez vite, notre pays a été surpris par l'attaque-éclair de l'Allemagne en 1940, un exode a lieu et la question de continuer ou d'arrêter la guerre s'est posée. La deuxième option choisie, l'armistice fut signé le 22 juin, il n'a fait que calmer le conflit sans pour autant arranger la situation. Sous l'occupation, le régime dictatorial fut instauré, mais une partie des Français s'était opposée aux nazis... avec l'appui des alliés, cette résistance a pu sauver le pays. Que s'est-il passé entre leur statut de pays vaincu à pays vainqueur ?
[...] Presque convaincu que la démocratie était la source du malheur du pays, il s'est recentré autour d'une nouvelle devise : travail, famille, patrie. Cela a été rendu possible par les idées de droite qui se développaient dans le peuple via les réactionnaires qui voulaient revenir aux principes d'avant révolution, les fascistes . tant de courants qui y ont vu une opportunité et ont rendu possible le tournant total de la France. Désormais, l'ennemi commun était l'Union soviétique avec le communisme ; alliés de l'Allemagne, ils étaient surtout sous sa domination majoritaire à la fin de 1940. [...]
[...] Rien qu'en voyant cela, il est facile de comprendre que la France a connu des jours meilleurs et s'attendait sûrement au pire. Droit de grève et syndicats supprimés, travail traditionnel glorifié, presse censurée, sénat éliminé, culte de la personnalité, arrestation des opposants politiques et attaques de certaines « catégories » de personnes comme les juifs, les étrangers ou les résistants. L'antisémitisme s'est vite répandu dans le régime de Vichy avec l'obligation de porter l'étoile jaune, beaucoup de professions, mais pas que, leur sont refusées. [...]
[...] Par logique leurs premiers mouvements sont apparus en zone libre. Ces mouvements avaient tous des noms différents, mais on peut citer Combat ou Francs-tireurs et partisans ; ce dernier a pu exister par le parti communiste rallié à notre cause après l'attaque de l'URSS par l'Allemagne, il organisait notamment des attentats. Leur mode d'opération se basait sur plusieurs points comme l'information clandestine, des sabotages, des évasions pour échapper au travail obligatoire . Leurs actes n'étaient pas sans conséquence, ils risquaient la déportation voire l'exécution, ce qui s'affichait parfois sur les propagandes allemandes. [...]
[...] C'était déjà le début de la Résistance qui a pris de l'ampleur au fur et à mesure des années. Le général était considéré comme un traître par le régime de Vichy, mais cela n'a pas empêché des milliers d'hommes de répondre à son appel et Churchill de le reconnaître comme le chef des Français libres. Presque sous ce même nom les forces françaises libres ont été créées, il s'agissait d'une armée appelée plus souvent FFL qui combattait auprès des Alliés avec un nombre de soldats atteignant 70000 à la fin de la guerre, pour la majorité ils étaient issus des territoires coloniaux. [...]
[...] Le Conseil national de Résistance a même été créé en 1943 : le CNR. Jean Moulin devait présider la première réunion de ce conseil et avait pour mission, par de Gaulle, d'unifier la Résistance du pays, mais il s'est fait arrêter, questionné et torturé il est mort quelques jours plus tard le 8 juillet 1943. Pendant ce temps de Gaulle qui menait secrètement son contre-pouvoir est allé à Alger pour rallier le chef de l'armée d'Afrique, ce qui lui a permis de créer le comité français de libération nationale, CFLN d'abord cogéré avec le général Giraud, puis seul. [...]
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