France, Europe, État, Restauration, Révolution française, Congrès de Vienne, courant libéral, Ancien Régime, diplomatie, opinions politiques, droits de l'Homme, société d'ordres, Concordat, religion, guerre, chef d'État, traité de Paris, Sainte-Alliance, Napoléon Bonaparte, Congrès d'Aix-La-Chapelle, bataille de Waterloo, monarchie, Empire ottoman, crise égyptienne, déclaration de Saint-Ouen, Richelieu, Talleyrand, Delacroix, monarchie de Juillet, Trois glorieuses
En 1814, la France est défaite et vaincu. Les vainqueurs doivent réorganiser l'Europe lors du congrès de Vienne (septembre 1814 à juin 1815). Ce congrès stabilise la situation européenne pour presque un siècle.
Un courant libéral en France, sensible aux idées héritées de la Révolution française. Un autre courant est conservateur, et réactionnaire, qui souhaitent maintenir des valeurs monarchiques de l'ancien régime (religion, aristocratie, monarchie, traditions défendues).
[...] La France fait de même, mais un peu plus tard, à partir de 1830. Il y a des sources de tensions en méditerranée : les Anglais souhaitent la dominer, mais les Français aussi. Une rivalité entre la France et l'Angleterre pour accroitre son influence en méditerranée. D'autres rivalités, en Europe, la France signifie un accord de libre-échange entre la France et la Belgique, cet accord effraie les Anglais. Les Anglais craignent que les Français annexent la Belgique et s'emparent du port d'Anvers, des tensions donc. [...]
[...] Lorsqu'il arrive, c'est la restauration, mais c'est tout de même une nouvelle monarchie. Pouvoir législatif Les principes hérités de la Révolution sont maintenus. L'abolition des privilèges est maintenue. Les possessions des terres sont maintenues. Une égalité devant les impôts, la justice, devant les emplois. Le retour du roi n'est pas un retour vers l'ancien régime. Le pouvoir est partagé. On revient au système du début de la Révolution française, avant la guillotine du roi Louis XVI. Lafayette voulait cela. Le roi a beaucoup de pouvoir. [...]
[...] Ce concert européen commence par cet accord. Le congrès de Vienne met en place un concert européen, car désormais de nouvelles pratiques diplomatiques. À partir du congrès de Vienne, les pratiques ont changé. On prend l'habitude de négocier bilatéralement. Et lorsque le problème est grave, on convoque un congrès. Des congrès multilatéraux. Lors de ces congrès, les puissances sont là pour exposer leurs puissances. Une habitude est prise pour calmer les désordres internationaux. En 1818, la France veut renégocier le traité de Paris du 20 novembre 1815. [...]
[...] Dans certaines villes aussi, des bandes armées qui rentrent dans les prisons et qui massacrent les prisonniers. La situation échappe aux autorités. Les ultras souhaitent se venger des soutiens de N.B durant les 100 jours. Le gouvernement de Paris est mécontent et embarrassé, l'autorité du gouvernement ne contrôle pas le territoire. Fâcheux vis-à-vis des Alliés, le régime n'est pas capable d'être maître chez lui. Le gouvernement réagit en organisant une Terreur légale, une épuration organisée par les autorités. Le gouvernement envoie un message à l'égard des royalistes, oui une punition, mais une punition organisée par les tribunaux. [...]
[...] Une politique clairement réactionnaire, antirévolutionnaire qui est menée. En 1825, le roi décide d'organiser une très grande cérémonie d'intronisation à Reims. Le comte d'Artois, qui devient Charles est un monarque de droits divins, un monarque dans la tradition. Il possède une bague comme s'il était marié au royaume de France. Une vision réactionnaire. Le sacre à Reims comme tous les rois de France depuis Clovis. Un personnage sacré au-dessus des hommes. Il considère qu'il doit y avoir une association entre l'Église et l'État. [...]
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