Expansion territoriale, États-Unis, XIXe siècle, conquête du territoire, possession du territoire
Un des fondements du peuplement américain est la poursuite de la liberté religieuse, mais aussi la poursuite de la terre.
Les Américains ont tout fait pour posséder les terres américaines, les défricher, les cultiver et parfois les spolier.
Les colons ont conservé la notion de préciosité, la rareté, la cherté de la possession de la terre, le prestige qu'il y a en Europe.
Le vieux continent n'a quasi plus de nouvelle terre à cultiver (sauf en Russie). Terres partagées depuis des siècles, guère plus de réserve foncière. Encore plus vrai en Angleterre que sur le continent.
[...] Les gens qui sont en Amérique se souvienne de cette rareté. Il y a l'envie pour chacun d'accéder à la possession de terre. Dans certaines régions d'Amérique, la possession de terre est la source de richesse principale et grande. Le territoire des actuels USA agissait pendant presque 3 siècles comme un aimant pour les familles européennes au XIXe siècle, des millions d'européens sont partis en Amérique du Nord. L'Histoire de la terre et des hommes aux USA est complexe et dynamique expansion territoriale, croissance démographique, changement technologique. [...]
[...] A partir de 1848, le territoire américain a presque la même tête qu'aujourd'hui, mis à part Gadsden, acheté en 1853, Alaska achetée à la Russie en 1867 et Hawaï annexé en Le contact avec les indiens Transfert de souveraineté entre les anciens pays propriétaires et les USA. Les habitants de ces territoires n'ont pas accepté de céder leurs territoires. Il y a besoin d'une autre conquête. A la fin de l'Indépendance américaine (1783), une grande partie de la Géorgie est indienne, comme le Mississippi et le Tennessee. Peu à peu, les blancs s'installent. La plupart des indiens ont décidé de rester neutres, mais prennent finalement parti des britanniques. [...]
[...] Chevaux arrivés à la fin du XVIIe siècle. Les chevaux sont étendus de l'Arizona au nord de l'Amérique. De la seconde moitié du XVIIIe siècle jusqu'au XIXe siècle il y a ce nomadisme grâce aux chevaux suivent les troupeaux de bisons, transportent des choses. Quand les américains arrivent dans cette région vers 1850 les indiens ne sont plus à pied mais à chevaux, mobiles, donc beaucoup plus difficile à chasser résistance armée forte défaite de Little Big Horn. L'armée américaine arrivent à finalement dompter les cavaliers-guerriers et les parquent dans des réserves et deviennent dépendant du gouvernement fédéral politique de déculturation, malnutrition, famine, on les rend alcooliques dernière grande révolte des indiens dans le Dakota, bataille (massacre) de Wounded Knee loi Dawes le gouvernement fédéral décide de donner des réserves où la propriété est individuelle et non pas collective terres allouées à des familles indiennes. [...]
[...] L'immigration à tendance à suivre des lignes de latitude chemin vers l'Ouest. L'immigration fournie aussi une population aux villes, car s'installer à la campagne coûte plus cher que de s'installer en ville. Les allemands, les anglais, les scandinaves ont plus tendance à s'installer à la campagne. Les irlandais c'est le contraire vue leur pauvreté et leur expérience de pauvreté et de famine qu'ils avaient connues en Irlande Techniques de peuplement et révolutions des transports Peupler le continent aurait pu se faire à pied ou à cheval mais sans doute le peuplement de l'ouest aurait été plus lent. [...]
[...] L'expansion territoriale des États-Unis au XIXe siècle Un des fondements du peuplement américain est la poursuite de la liberté religieuse, mais aussi la poursuite de la terre. Les Américains ont tout fait pour posséder les terres américaines, les défricher, les cultiver et parfois les spolier. Les colons ont conservé la notion de préciosité, la rareté, la cherté de la possession de la terre, le prestige qu'il y a en Europe. Le vieux continent n'a quasi plus de nouvelle terre à cultiver (sauf en Russie). [...]
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