IIème république, tripartisme, régime parlementaire rationalisé, vie politique, De Gaulle
Dans chaque région libérée, il serait installé un commissaire de la République avec des pouvoirs délégués par le Gouvernement Provisoire qui l'aurait nommé. Serait adjoint une vingtaine d'hommes de confiance avec des pouvoirs quasi-dictatoriaux. Commissaire : place provisoire qui durera le temps de la libération. Si le Gouvernement Provisoire avait prévu cela, il redoutait deux autre concurrences...
[...] Il va mettre en place la tactique de retirement du monde public pour mieux revenir. Le ministère de la défense est partagé en 2 : les Armées pour Edmond Michelet le PCF à l'armement. B. Le retrait de De Gaulle Dissentiment entre le gouvernement et l'assemblée constituante. Les parlementaires supportent mal la hauteur de CDG ; désaccord profond ; la SFIO demande un abattement de 10% sur le budget militaire ; DG craint le retour à un régime de partis politiques : les rapporteurs des commissions refusent de tenir au courant de l'avancée de la rédaction de la constitution. [...]
[...] Il y a deux grands mouvements de la Résistance qui peuvent prétendre à créer un grand parti : MLN : mouvement de libération nationale Front National : communistes Le FN propose une sorte de fusion qui ferait de l'ensemble un grand parti de la résistance : plus facile d'appliquer le programme du CNR. Malraux refuse la fusion des deux mouvement car peur que le MLN tombe sous la tutelle des communistes. Une majorité du congrès refuse : peur du communisme et de devenir un satellite de l'Union Soviétique : annule toute possibilité de renouvellement politique. Finalement ils rejoignent les partis politique. Que veulent les communistes ? Idée reçue que les communistes profiteraient de la libération pour s'infiltrer politiquement. L'épuration sauvage était du fait des communistes. [...]
[...] En 47, Guitry obtient un non lieu. Cette épuration légale vise aussi les perosnnalités de Vichy, qui passent devant une haute cour de Justice par une ordonnance promulguée le 18 novembre 44 et composée de 27 membres : 3 magistrats et 24 jurés désignés sur une liste de 100 personnes choisies dans l'assemblé consultative. Elle va juger le maréchal Pétain, qui va le condamner à mort le 23 juillet 1945. Cette peine va être commuée en peine à perpétuité par le Gal de Gaulle, du fait de l'opinion publique. [...]
[...] Le gouvernement Ramadier perd l'appui du PCF. Retour de De Gaulle dans l'opposition : politique et constitutionnelle avec le RPF : rassemblement de la population française, marqué à droite. RPF : 7 avril 47, Strasbourg: discours de de Gaulle et lance l'idée du rassemblement du peuple français et réformer l'état ; il exige une direction ferme de l'état : si l'on veut un état ferme, on doit changer les institutions. Succès vif et immédiat. Résistants répondant à l'appel de de Gaulle, viennent se rajouter la droite classique, et aux élections municipales : 40% des voix pour le RPF dont Marseille, Lille, Strasbourg et la majorité des arrondissements des arrondissements de Paris. [...]
[...] Ne trouve pas sa voie à cause de querelles laïques. Le PCF enfonce le clou et l'assemblée consultative provisoire vote une motion supprimant les dons aux écoles catholiques. Produire du nouveau Résolver les séquelles de la guerre On compte moins de soldats morts pendant la guerre que de civils : +200000 soldats morts ; 300000 civils morts ; 182000 déportés Touche l'ensemble du territoire : pillage des ressources du territoire par l'occupant ; indemnités versées s'élevaient à 400 millions de francs par jour. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture