L'Empire et la Restauration : du sacre à la chute de Napoléon

Thèmes abordés

Napoléon Bonaparte, Empire, empereur, sacre, monarchie, Révolution française, monarchie absolue, Corse, armée, guerre, chef de guerre, siège, artillerie, Paris, Jacobins, Carnot, gouvernement, politique, soldats, Egypte, colonies anglaises, colonies britanniques, Empire ottoman, conquête, Consulat, coup d'Etat du 18 Brumaire, coup d'État militaire, Jacques Bainville, crise financière, endettement, impôts directs, paix religieuse, catholicisme, Église catholique, réformes fiscales, Code civil, Code napoléonien, administration, pouvoir, législation, corps législatif, dictature, dictature militaire, exil, Culture, politique culturelle, arts, pillage, imprimerie, défaite, bataille de Waterloo, chute de l'empire

Résumé du document

La Révolution française s'achève à la révolution du 18 brumaire, par des conspirateurs, y compris Napoléon Bonaparte, et qui installent un régime politique autoritaire. La période napoléonienne débute de novembre 1799 à 1814.
1814 à 1830 marque la période de la restauration de la monarchie parlementaire en France. Plusieurs préoccupations émergent : retrouver un équilibre politique en France, et après la défaite de Napoléon, retrouver à la France une place dans le concert des Nations. Cette période s'achève par une révolution en 1830 (Révolution des trois glorieuses). Puis, Troisième révolution, de 1848, qui apporte la Seconde République française. Finalement l'année 1871 est marquée par la Commune de Paris, et qui crée la Troisième République française.
Comment parvenir à concilier les aspirations monarchiques et libérales en France ? Comment la France tente de s'imposer comme une grande puissance européenne et mondiale ?

Extraits

[...] Bonaparte affronte l'armée des Mamelouks. C'est la bataille des Pyramides. Une bataille asymétrique. Les Mamelouks se battent sans artillerie, malgré du courage, tandis, que Bonaparte se bat avec artilleries, canons, la victoire est très facile. Bonaparte prend Alexandrie puis Le Caire, et s'empare de l'Égypte, la conquête est assez facile. Cependant, quelques problèmes ; la flotte française est amarrée dans la rade d'Aboukir, la flotte française est coulée par la flotte anglaise (premier grave problème, car l'armée française est prisonnière de sa conquête), deuxième problème, la politique de réforme et de soumission d'Égypte échoue. [...]

[...] Quels sont les objectifs de Napoléon Bonaparte ? Encercler les Autrichiens, afin de couper leurs lignes de communication. Quels sont les avantages de l'organisation du corps d'armée ? Les 7 corps d'armée, les « 7 torrents », torrents, car mobiles. Chaque corps d'armée est très rapide (composé de 25-30 mille hommes, et d'artillerie, de cavalerie, d'infanterie, d'ingénieurs en génie civil). Un corps d'armée peut résister 6 heures, car il peut être aidé en sachant les autres corps d'armée à 6 heures de marche. [...]

[...] Les Russes se défendent avec acharnement. Un nationalisme russe se développe. Il rentre dans Moscou le 17 septembre. La ville brule. Aucune paix n'est signée. Le 19 octobre, Napoléon Bonaparte donne l'ordre de la retraite. Napoléon Bonaparte a commis l'erreur de s'arrêter à Moscou et n'a pas poursuit les troupes russes. Les troupes russes restantes vont harceler les troupes françaises. Énormément de soldats vont mourir. La bérézina, une véritable catastrophe. Il doit préparer la prochaine campagne, celle de 1813, en Allemagne. [...]

[...] Bonaparte échoue dans la poursuite de sa conquête. Il ne parvient pas à conquérir la ville de Saint-Jean d'Acre, qui se trouve en Palestine. Il échoue, et retourne en Égypte, les Ottomans débarquent à Aboukir, et livrent bataille à Bonaparte, Bonaparte remporte la victoire facilement. Mais cette conquête est assez décevante. Alors Bonaparte décide de rentrer, et laisse son armée en Égypte hommes, aux mains de Kleber an plus tard, Kleber se rend aux Anglais, l'armée française est livrée aux Anglais. [...]

[...] Bonaparte rassure la population, il est le garant de biens fonciers. Les prêtres et évêques, payés par l'État, sont en quelque sorte des fonctionnaires, et donc obéissent à l'État. Non seulement il rassure, mais en même temps il accapare la fidélité du clergé de France. Le concordat est signé le 15 juillet 1801. Soulagement pour Bonaparte, pour les Français, et pour le pape. Un grand avantage pour Bonaparte, il interprète la religion comme étant un ciment avec la société, « nulle société ne peut subsister sans moral » et « Il n'y a pas de moral sans religions ». [...]