Éducation des filles, Second Empire, enseignement maternel, enseignement paternel, salle d'asile pour enfants, ségrégation, classes maternelles, monarchie de juillet, classes populaires et ouvrières, cas de Pauline Kergomard, loi Falloux de 1850, loi Victor Duruy de 1867, brevet de capacité, enseignement secondaire, enquête de Rebecca Roger de 1864, ministre de l'Éducation, politique coloniale, majorité des filles d'Algérie, villes algériennes, indigène, école privée, quartier urbain, position darwinienne, La Citoyenne, Algérie
L'éducation des filles jusqu'au Second Empire se concentre sur l'histoire de l'enseignement maternel et primaire pour les filles en France. Ce cours commence par une introduction sur la riche historiographie de cette période, soulignant comment les femmes ont été cantonnées dans une sphère spécifique en associant le masculin au savoir scientifique et le féminin au littéraire.
[...] L'éducation des filles jusqu'au Second Empire L'éducation des filles jusqu'au Second Empire se concentre sur l'histoire de l'enseignement maternel et primaire pour les filles en France. Ce cours commence par une introduction sur la riche historiographie de cette période, soulignant comment les femmes ont été cantonnées dans une sphère spécifique en associant le masculin au savoir scientifique et le féminin au littéraire. L'enseignement maternel Ce premier paragraphe décrit comment les philanthropes et les bourgeois de haut niveau ont créé des salles d'asile pour les enfants les plus jeunes, tenues par des femmes. [...]
[...] Elle a introduit l'Histoire-Géographie dans le primaire par les communes. Malgré cela, à la fin du Second Empire, il y avait un manque d'élèves dans les écoles lors des vendanges. Il y avait également une différence entre l'enseignement des filles et des garçons, avec les filles étant majoritairement sous l'emprise religieuse (environ contre 20% des garçons. L'enseignement secondaire Il convient de décrire comment Napoléon 1er était contre l'éducation des filles et comment l'enseignement secondaire a été mis en place sous son règne. [...]
[...] Les religieuses ont également fondé des écoles dans les colonies. En 1850, des écoles ont été créées dans diverses villes algériennes dans le but de promouvoir la fusion des races. Cependant, cette politique a échoué, car elle ne rencontrait que les plus pauvres et les classes sociales élevées refusaient de fréquenter ces écoles. Les colons ne voulaient pas non plus mettre leurs enfants dans les mêmes écoles que les indigènes. La revue a également critiqué le rôle de l'église dans l'éducation des femmes, qui visait à les former en tant qu'épouses et mères de famille plutôt qu'à leur donner une instruction complète et à les préparer à des métiers. [...]
[...] En 1848, il y en avait 10. La loi Falloux de 1850 a favorisé l'accès des religieux à l'enseignement religieux dans l'enseignement primaire, ainsi que la liberté d'enseignement religieux et l'égalité entre les hommes et les femmes. Le brevet de capacité a été créé pour devenir instituteur/institutrice, avec un programme similaire pour les hommes et les femmes, mais avec l'ajout d'enseignements tels que la couture pour les femmes. Cette loi a également permis une certaine distance entre l'Empereur et l'Église. [...]
[...] En 1867, la loi Duruy a été adoptée, qui visait à améliorer l'enseignement pour les filles. Le programme minimum pour les filles incluait des règles strictes, comme le silence pendant les repas et la prière. Cependant, il y avait des exceptions, comme les pensionnats laïques qui dominaient à Paris, où il y avait 22 pensionnats religieux et 320 laïques. Cela était lié à la spécificité de la ville, où la classe moyenne voulait un enseignement pour les filles qui les préparerait à un métier plutôt qu'au mariage. [...]
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