Synthèse (niveau Lycée) de l'histoire politique de la France sous la présidence de de Gaulle. Retour sur son arrivée au pouvoir, la mise en place des institutions, la politique de grandeur nationale du général, les échéances politiques comme la présidentielle de 1965 et enfin sur mai 68 et la fin du "règne" du général.
[...] il est intéréssante de voir qu'ils rejettent les acquis de la société de consommation alors qu'ils en sont les détenteurs et les héritiers -utopie qui met en valeur l'individu "interdit d'interdire", désir de démocratie directe, revendication d'une autonomie totale de l'individu, volonté de libérer les moeurs -critique de la rentabilité, la recherche de productivité, la concentration capitaliste et l'urbanisme "des barres et des tours"; volonté d'une société de petites communautés, diffusion de l'écologie; la culture est "culture des élites" qui impose leurs valeurs. la culture et les valeurs universelles n'existent donc pas ou sont un leurre des élites. l'humanisme est abandonné. [...]
[...] leur participation au cartel des non en 1962 ne mobilise pas l'electorat conservateur. sécession des Républicains Indépendants de VGE. voies siphonnées par l'UNR, le charisme de DG et ses fortes convictions lui attirant tout naturellement l'electorat de droite. [...]
[...] son adhésion à DG en 1958 lui a aliéné beaucoup d'électeurs et surtout l'aile gaughe du parti. la guerre d'Algérie à divisé le parti >les centristes, radicaux et MRP sont marginalisés par le mode de srutin uninominal à 2 tours qui favorise la bipolarisation >la droite traditionnelle, CNIP, s'effondre. les dirigeants sont divisés sur l'Algérie. [...]
[...] la fin de la présidence de Charles de Gaulle le premier ministre déchu de ses fonctions en juillet 1968 DG ne reconduit pas Pompidou dans ses fonctions et nomme Maurice Couve de Murville premier ministre: =>Pompidou est devenu un rival trop dangereux pour DG, il sort renforcé de la crise de mai, la nouvelle majorité parlementaire apparait comme trop pompidolienne, DG veut continuer ses réformes alors que Pompidou est plus conservateur, et sa trop grande autorité et popularité empiete sur le pouvoir présidentiel or pour DG c'est le président qui est la clé de voute de la Ve et il ne pourra pas continuer les réformes avec un premier ministre conservateur et très populaire. -gouvernement quasi inchangé sauf les nominations de Jean-Marcel Jeanenney chargé des réformes institutionnelles et Edgar Faure ministre de l'éducation nationale 3 grands sujets préoccupent le nouveau gouvernement: >en novembre éclate une grave crise monétaire consécutive à la crise de mai. [...]
[...] >les rapports avec la France devraient ils être privilégiés? -le leaders politiques africains sont divisés projet de 1958 de DG est très prudent >les africains doivent choisir entre autonomie dans le cadre d'une communauté regroupée autour de la métropole ou en dehors de toute relation avec la France seule la Guinée refuse la communauté=> rupture des liens france/ Guinée >DG a une vision très centralisée et présidentialiste de la communauté, et il joue sur les divisions entre leader pour imposer ses vues: conséquence, les leaders africains se radicalisent en 1959 le conseil executif décide d'ouvrir la voie de "l'accession à la souverainneté internationale", en 1960 la communauté est, dans les faits, morte les 3 problèmes posés par le mouvement indépendantiste des Etats africains: >les Etats africains ne parviennent pas à se regrouper (différence d'ethnie, différence de colonisation), d'ailleurs beaucoup de pays ayant les mêmes frontières que les anciennes colonies n'ont pas d'unité ethnique et sont très divisés en tribus >l'Union Africaine créée après les indépendances est une organisation très fragile >les accords de coopération économique entre la France et ses anciennes colonies (Sénégal, Côte d'Ivoire . [...]
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