Question sociale, syndicalisme révolutionnaire, réforme, rupture, utopie, socialisme, mouvement socialiste, front populaire, années Mitterrand, Le poing et la rose, Union de la Gauche, politique de la paix, pouvoir
Vers la fin du XIXe siècle, il y a une émergence progressive de la « question sociale ».
Dans sa recherche de racines, le mouvement socialiste a naturellement cherché des précurseurs : Spartacus (Spartakus bund) ; la pensée utopique des lumières ; Babeuf et la « Conjuration de l'égalité » (cherche à défendre le collectivisme pendant la République française ; guillotiné).
Le mouvement socialiste ne sort nullement constitué de la période révolutionnaire, il est le produit d'un long cheminement qui prend d'abord la forme d'utopie. L'utopisme, c'est essayer de penser différemment la société.
[...] Le Parti socialiste autonome de 1958 devient le Parti Socialiste Unifié avec Michel Rocard en 1960. III Du refus à l'acceptation des institutions de la Vème République 1 Les Années Mitterrand Le Coup d'Etat Permanent, Mitterrand A 1971 : Congrès d'Epinay, le Chemin du retour au pouvoir L'élection du PR au SU change la vie politique : Mitterrand (Convention des institutions républicaines) soutenu par la SFIO et le PCF met De Gaulle en ballotage 1969 : Pas d'alliance : Gaston Deferre Jacques Duclos Congrès d'Épinay FM prend la direction Parti socialiste 1972 Signature du programme commun de gouvernement 1974 Assises du socialisme des militants de la CFDT et une partie du PSU (M. [...]
[...] ] il faut assurer à tous les membres de la société la jouissance de la portion des fruits de la terre qui est nécessaire à leur existence » Jean Jaurès en 1903 : « Je suis avec Robespierre, et c'est à côté de lui que je vais m'asseoir aux Jacobins » dans Histoire socialiste de la Révolution Française Le socialisme dit « utopique » Le mouvement socialiste ne sort nullement constitué de la période révolutionnaire, il est le produit d'un long cheminement qui prend d'abord la forme d'utopie. Utopisme : essayer de penser différemment la société. A Des théoriciens : Saint-Simon (fin ; Charles Fourier (fin ; Proudhon ; Blanqui ; Louis Blanc Leur pensée commune est une réflexion autour : des nouveaux rapports sociaux nés de la Révolution industrielle, des inégalités sociales, de la nécessité de placer la question sociale sur le devant de la scène politique. [...]
[...] 1 « Classe contre classe » ou conquête démocratique du pouvoir ? Contrairement au Paris socialiste allemand, en France, le Courant est fragmenté entre des tendances rivales jusqu'à l'unification de 1905 : SFIO avec Jean Jaurès. Pas de lien organique avec le syndicalisme contrairement au RU et à l'Allemagne. En France, c'est le syndicalisme révolutionnaire qui est puissant. Le socialisme en France s'est longtemps propagé sous une forme réticulaire où s'agencent beaucoup de microstructures, aux marges du politique : sociétés de libre-pensée, franc-maçonnerie, corportations, groupes de réflexion, etc. [...]
[...] 1[er] congrès à Genève en 1866 avec 60 délégués représentant 25 sections & 11 sociétés adhérentes de France, Suisse, Allemagne, Angleterre. « Toute participation de la classe ouvrière à la politique bourgeoise gouvernementale ne peut avoir d'autre résultat que la consolidation de l'ordre des choses existant » Bakouninistes Bakounine révolutionnaire qui pose les fondements du socialisme libertaire. « L'abstention politique est funeste par ses conséquences pour notre œuvre commune [ . ] nous croyons qu'individuellement chaque membre doit intervenir, autant que faire ce peut, dans la politique. » Marxistes. [...]
[...] Nouveau sigle de la SFIO qui reflète cette contradiction : Une rhétorique de la radicalité : A Le front populaire Réaction au 6 février 1934 (manifestation anti-parlementaire sanglante des lignes d'extrême droite) Union SFIC / SFIO / Radicaux Victoire aux législatives 26 avril et 3 mai des suffrages au premier tour 386 députés sur 608 à la Chambre des députés (219 SFIO et PCF) Léon Blum Président du Conseil Mouvement de grève de mai-juin 1936 7 juin 1936 accords de Matignon (hausse des salaires, congès payé heures, retraite des mineurs, nationalisations - aéronautique, chemins de fer - SNCF ) Non-intervention en Espagne Difficultés économiques 24 février 1937 - « La Pause » 21 juin 1937 démission du gouvernement Blum Gouvernement Camille Chautemps (radical) Mars-avril 2ème gouvernement Blum = réformes bloquées par le Sénat Gouvernement Edouard Daladier « remettre la France au travail » fin de « la semaine des deux Dimanche », (retour aux 48 heures) B Un parti clé de la IVème République Participation des socialistes au CNR, la SFIO participe au gouvernement à partir de 1945 puis devient un pilier de la 3[ème] force (SFIO, MRP, Radicaux, RGR, Modérés) après la rupture du tripartisme (PCF, MRP, SFIO) Guy Mollet SG de la SFIO et Président du Conseil en 1956. Pleins pouvoir pour cesser la guerre en Algérie mais échec & couvre l'emploi de la torture. Développement d'une dissidence socialiste. [...]
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