Juifs, protestants, catholiques, IV, IV eme républiques, religion, croyants, églises, prêtre-ouvrier, école publics, école privée, politique
Dans la seconde moitié des année 1940 et 1950 les confessions religieuses qui sont sorties profondément transformées de la guerre, ont une influence qui reste forte sur la société. Plus de 9/10 français se disent croyants et si la pratique religieuse se réduit, elle reste globalement marquante dans beaucoup de régions françaises. Par la presse, par les engagements dans les débats publics , par les mouvements d'action catholique, le clergé et les laïques se rendent très présents dans le monde, ils participent dans les débat publics au point de se diviser, et des forces nouvelles appellent à une redéfinition des relation entre les questions spirituelles et temporelles.
[...] Les protestants ont souvent plus voté à gauche que les catholique. Pendant une période de la IIIème République il y a concordance entre les attitudes des républicains et les options politiques des protestants. Le positionnement politiques des églises protestantes et encore plus rares que le positionnement des évêques, les chefs des églises protestantes s'expriment plus rarement que les catholiques sur les questions de société. Autre problème, les circonscriptions ou on peut saisir le vote des protestants sont peu nombreuses, il y a quelques circonscriptions dans lesquelles les protestants sont entre 5e t10%, qui peuvent être utiliser pour étudier le vote protestant. [...]
[...] Dans beaucoup de courants confessionnels, l'idée de décolonisation est admise, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y aura pas une division des croyants au sujet de l'Algérie. Dès le début des évènements d'Algérie, les croyants se divisent, la défense de l'Algérie française est organisée par certains organe ou certains leader catholique comme la France catholique, qui est un journal qui rassemble les catholiques de la droite très conservatrice, tandis qu'au contraire, Témoignage chrétien plaide en faveur de discussion avec les rebelles algériens et donc vers une politique libérale. [...]
[...] Il n'y a pas de processus linéaire de détachement, il faut manier avec précaution le thème de la déchristianisation, on peut sans doute dire qu'il y a eu un reflux du sentiment catholique . II) Le rapport entre Croyants et affaires publiques. a. Les attitudes politiques des croyants. Les forces religieuses constituent un rôle dans la politique , le poids de l'appartenance n'explique pas tel ou tel vote, mais influence le vote dans un sens ou un autre. Tous les croyants ne votent pas de la même manière, la hiérarchie religieuse n'intervient plus comme avant dans la vie publique et politique. [...]
[...] Les églises interviennent de moins en moins dans les affaires de la société , de plus en plus car leurs positions sont de niveau moral, à un niveau général. Les interventions de l'église dans la vie publique sont de plus en plus éloignées de la lutte politique concrète. On est toujours dans une politique de décléricalisation du débat publique. III) Les questionnements des croyants annoncent des divisions en leur sein. La crise des prêtres ouvriers. Elle est liée à cette atmosphère très marqué du marxisme en France dans les année 40-50. [...]
[...] La communauté va donc passer de en 45 au début des année 60, grâce a une forte natalité et à immigrants. Géographiquement: Surtout groupé en Région parisienne, et quelques groupement dans le sud de la France (aux alentours de Nice). b. Un pays majoritairement catholique Avec 40Million en 1945, 48M en 55, la France est très majoritairement catholique, il y a les membres du clergé: dont le clergé séculier: - Dans les année 50, il y a environ prêtres et une 100aine d'évêques. [...]
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