Crise du mur de Berlin, L'Humanité du 14 août 1961, discours de Kennedy à Berlin, 26 janvier 1963, Guerre froide, endiguement, doctrine Truman, chute du mur de Berlin, Gorbatchev, rideau de fer
Après la Deuxième Guerre mondiale et la capitulation de l'Allemagne, l'URSS et les États-Unis sont les grands vainqueurs de ce conflit. L'Allemagne est alors divisée en quatre, à l'Est l'URSS et à l'Ouest les États-Unis, l'Angleterre et la France qui sont aussi les vainqueurs. Ce partage ne se limite pas à une quadripartie car Berlin, capitale allemande, est aussi divisée de la même manière. Le journal L'Humanité du 14 août 1961, même si la France fait partie du bloc de l'Ouest, défend l'URSS. Ce journal créé par Jean Jaurès est communiste. Notre second document est le discours du président américain Kennedy à Berlin s'adressant aux Berlinois de l'Est le 26 janvier 1963. Nous sommes donc dans un contexte de Guerre froide.
[...] Le journal l'Humanité du 14 août 1961 même si la France est partie du bloc de l'Ouest défend l'URSS. Ce journal crée par Jean Jaurès est communiste. Notre second document est le discours du président américain Kennedy à Berlin s'adressant aux berlinois de l'Est le 26 janvier 1963. Nous sommes donc dans un contexte de guerre froide. En 1961 la RDA érige un mur entre Berlin-Est et Berlin-Ouest pour éviter la fuite de ses habitants. Il y avait déjà un rideau de fer qui séparait les deux blocs mais ce n'était pas le cas de la ville de Berlin. [...]
[...] Cependant Kennedy reconnaît que son pays a «beaucoup de difficultés et que la démocratie n'est pas parfaite» faisant sûrement référence aux inégalités civiques dues à la ségrégation aux États-Unis tout en répétant qu'il fait partie du monde libre à la différence de l'URSS qualifiée «d'éclatante faillite». Il applique alors l'endiguement de la doctrine Truman pour lutter contre le communisme. En 1963, deux ans après la construction du mur il exprime son soutien au berlinois de l'Ouest avec sa fameuse phrase «ich bin ein Berliner» qu'il prononce en allemand, ce qui a bien plus d'impact que s'il l'avait dit en anglais. Cette phrase exprimant si ça solidarité comme «Je suis Charlie» à la suite des attentats de Paris récemment. [...]
[...] De plus, il donne de l'espoir et de la gloire au berlinois dans la dernière partie de son discours. Néanmoins, il ne veut pas détruite le mur car cela impliquerait une autre guerre avec cette fois le risque d'apocalypse nucléaire. Le mur chutera en 1989 à cause de manifestation l'ouverture du rideau de fer en Hongrie et en Autriche et à des réformes ratées de Gorbatchev cela marquera l'effondrement de l'URSS et de la supériorité occidentale. Cette prise du mur de Berlin est représentative de la guerre froide car la rivalité idéologique entre les deux puissances est symbolisée par un mur. [...]
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