Plan:
TITRE III ? LA CONVENTION 1792- 1795
Chapitre I : La tragédie de la Convention
Section I ? La Convention girondine
§ 1 ? Heurs et malheurs de la Gironde
A/ Le court triomphe girondin
B/ Le procès de Louis XVI
C/ La république assiégée
- La coalition européenne
- Le soulèvement vendéen
- Pression populaire et revendications sociales
§ 2 ? La chute de la Gironde
A/ L'offensive montagnarde
B/ La tentative de contre-attaque girondine
C/ Les journées du 31 mai au 2 juin 1793
Section II ? Le triomphe de la Montagne, la Terreur
§ 1 ? La guerre révolutionnaire
A/ La réorganisation de l'armée
B/ Les victoires des soldats de l'An II :
- à l'extérieur
- à l'intérieur
Section III ? La dictature de Robespierre
§ 1 ? L'irrésistible ascension
A/ L'élimination des factions rivales
B/ La Grande Terreur
§ 2 ? L'apothéose : le culte de l'Etre Suprême
§ 3 ? La chute : le 9 Thermidor
A/ Les fils de l'intrigue
- La coalition de la peur
- Le climat politique général
- Les discussions internes
B/ Le drame final
Chapitre II : L'idéal révolutionnaire : la Constitution de 1793
Section I : Les conditions de son adoption
§ 1 ? Le projet girondin
§ 2 ? La ratification du projet montagnard
Section II ? L'analyse de son contenu
§ 1 ? La déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen
§ 2 ? Les caractères originaux de la constitution
A/ La souveraineté populaire
B/ Le triomphe du législatif
C/ La démocratie semi-directe
Chapitre III : Les exigences du salut public : le gouvernement révolutionnaire
Section I ? La Convention
§ 1 ? Fonctionnement
§ 2 ? Attributions
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Section II ? Les comités de gouvernement
§ 1 ? Le Comité de sûreté générale
§ 2 ? Le Comité de salut public
A/ Historique
B/ Organisation
C/ Fonctions
Section III ? Les organes de fait
§ 1 ? La Commune de Paris
§ 2 ? Les Sections parisiennes
§ 3 ? Le Club des Jacobins
[...] Section La convention. Fonctionnement. Il y a 749 députés qui siège à la convention, les débats y sont publics se qui donne libre cours aux pressions d'un public passionné, tumultueux voir même menaçant dans la mesure où ils peuvent très vite se former en troupe d'insurgés. II) Attributions. La convention est une émanation du peuple souverain, en cela elle possède le pouvoir législatif, tous les textes votés ont directement valeur de lois, ils sont directement exécutoires et peuvent légiférer sur tous les domaines (des grandes mesures politiques aux détails). [...]
[...] Des ministres sont spécialisés à des domaines, Carnot à la guerre et Prieur de la Cote d'Or à l'armement, Jean Bon Saint André à la marine et à l'approvisionnement. Robespierre, Saint Just et Couthon s'occupent quant à eux des questions de politiques générales. Section Les organes de fait. La Commune de Paris. Jusqu'au 9 aôut 1792, la commune de Paris était une municipalité légale, c'est au cours de la journée du 9 aôut qu'elle se met en état d'insurrection. Pour Robespierre, cette force révolutionnaire représente un danger, il tentera vainement de la museller et n'en sera pas pardonné lors de sa chute. II) Les sections parisiennes. [...]
[...] Au nord, Carnot lui même remporte la bataille de Wattignies. Au sud, Toulon est reprise le 19 décembre par Bonaparte. Au printemps 1794, les français chassent les Sardes du comté de Nicy et les espagnols outre les pyrénnées. Le 24 juin 1794, Jourdan remporte la bataille de Fleurus en Belgique. Bordeaux est reprise en septembre, Lyon en octobre. Les vendéens connaissent des difficultés à cause de leur avancée, Marceau et Kleber vont ingliger de cuisantes défaites au vendéens, victoire: - A Choley en octobre. [...]
[...] - L'appui de la convention. - L'union entre les chefs des comités. Saint Just déclarera: "En juin 1794, la révolution est glacée", tout exige un temps d'arrêt. Le principe de la Terreur est insuportable à l'opinion d'autant que rien ne l'exige. Personne ne sait ce que veut Robespierre qui est tombé dans les engrenages de la dictature, engrenages qui vont l'enrouler dans les fils de l'intrigues. Fouche, Billaud-Varenne, Collot d'Herbois comptent pour être les plus extremistes et les plus révolutionnaires, à leur cotés se trouvent la majorité des députés les plus modérés, leur union provient de leur peur commune, celle d'être les prochains guillotinés. [...]
[...] Section La convention girondine. Heurts et malheurs de la gironde. Le court triomphe girondin. Du 21 septembre 1792 au 31 mai 1793, la gironde va dominer la convention. En effet, la plaine appuie la gironde durant les élections, les girondins emportent ainsi les comités de l'assemblée, leur cliéntèle provinciale leur assure une importante manne électorale. Les girondins mènent une campagne plutôt maladroite en essayant de mettre au silence, les députés parisiens (montagnards), les sections et la commune. Ils demandent des comptes à Danton et accusent Robespierre de nourrir des projets dictatoriaux, cette atittude agressive se verra anéantie par une contre-attaque montagnard lors du procès du Roi. [...]
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