Histoire des entreprises, relance de type keynésienne, petite entreprise, dialogue social, travail à la chaîne, onséquences de la Seconde Guerre mondiale
Le gouvernement de gauche met en place une relance de type keynésienne. C'est le front populaire qui met en place la baisse des horaires et une augmentation de salaire avec les accords Matignon. Il y a une augmentation de salaire de 12 % en moyenne et une baisse du nombre d'horaires. Cela augmente de 20 %.
Entre outre, on peut pousser les entreprises à embaucher mais le problème est qu'il y a un problème de qualification. Par conséquent, la productivité ne s'améliore pas et l'économie n'est pas relancée. La réaction du patronat se traduit en réalité par la fuite des capitaux. Les investisseurs préfèrent donc investir hors de France. En 1936, 23 milliards de francs qui sortent de France et plus de 14 milliards l'année suivante. Il y a donc une défiance entre le gouvernement et le patronat. Il y a en outre, les grandes grèves en 1936.
En 1939, la seconde guerre mondiale apparaît.
[...] C La crise force ou faiblesse pour les entreprises françaises. Tout ceci à créer des problèmes et la crise a tué un grand nombre de PME. Création des OS. Mais cela a aussi été un facteur de dynamisme car les problèmes de financement on entrainé la chasse au dépense, elles ont entraîné un renouvellement de l'appareil productif, cela a permit de réduire la main d'œuvre en gardant les plus qualifiés. On a fermé également les secteurs non productif, et on a valorisé les produits qui marche. [...]
[...] ( Les combats sont un élément perturbateur pour les entreprises françaises au début et à la fin de la guerre. Mais ces combats qui sont quand même important on pour conséquence les même que pour la première guerre mondiale. ( L'installation d'un nouveaux régime, le régime de Vichy qui met en place d'un côté que l'idéologie de ce régime est anticapitaliste et anti industriel. Le nouveau régime intervient dans l'économie pour la réguler avec la Charte du Travail en 1941. [...]
[...] La transparence se trouve principalement dans les petites entreprises et pas dans les grandes entreprises. Il y a donc beaucoup de retards, c'est un phénomène de conservatisme. III Sur la voie de la modernité. A La petite entreprise, un facteur de dynamisme. Ces moyens importants de dynamisme car les PME sont souvent en meilleur santé que les grandes pour la croissance et la rentabilité. Leur croissance est souvent plus grandes que pour les SA. En général, la rentabilité des PME n'est pas inférieur au SA paradoxalement aux rendements d'échelles, mais elles sont souvent plus rentables que les SA. [...]
[...] - L'Allemagne fait tout de même travailler les entreprises françaises. Ce qui permet de faire tourner l'économie française même si c'est au ralenti. - A partir de 1940, la guerre est totale et donc les besoins le sont aussi. II Cela à entrainer un certain nombre de retard. A Une concentration insuffisante. A cette époque c'est le règne de la petite entreprise et donc cela pose un problème car la grande entreprise devient un moyen dynamique pour la société française. [...]
[...] A la fin des années 1920, si on regarde la capitalisation des 50 premières d'entreprises à Paris on atteint 87 milliards de Francs, à Londres, cette capitalisation est trois fois plus grandes avec 157 milliards de Francs. B La frilosité du patronat. ( Phénomène de foisonnement capitalistique. ( Phénomène de fermeture des entreprises. C Les impasses du dialogue social. Augmentation des rythmes de cadences. Manque de dialogue entre la gauche et la droite, et différentes politiques vis à vis des entreprises. En 1936, apparaît le phénomène d'occupation des usines. Slogan, l'usine n'appartient pas qu'aux investisseurs mais aussi aux ouvriers. [...]
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