Le Congrès de Vienne, politique, europe, révolution, Napoléon
Le XIXème siècle « commence » le 9 juin 1815 (= traité de Vienne). Ce traité semble mettre fin à quantité de bouleversements politiques, à l'intérieur de l'Europe, mais aussi à une transformation de la société. On a donc une nouvelle carte politique avec une nouvelle société constituée de l'industrialisation et l'émergence d'un nouveau modèle : la Grande-Bretagne.
L'objectif du congrès de Vienne était de mettre fin à une période révolutionnaire.
[...] On voit ainsi apparaître une charte qui admet le bicamérisme, les élections L'autre revendication est le retour au code Napoléon, le code civil dont le point central est l'égalité de tous les hommes devant la loi. Lors de la révolution on a eu une nationalisation des biens de l'Eglise. En 1815 on pourrait revenir à l'Ancien régime et l'Eglise récupérer ses bien. Cependant c'est un immense transfert de propriété et le risque est que les hommes se liguent contre le pouvoir. [...]
[...] Le Congrès de Vienne juin 1815) Le XIXème siècle commence le 9 juin 1815 traité de Vienne). Ce traité semble mettre fin à quantité de bouleversements politiques, à l'intérieur de l'Europe, mais aussi à une transformation de la société. On a donc une nouvelle carte politique avec une nouvelle société constituée de l'industrialisation et l'émergence d'un nouveau modèle : la Grande- Bretagne. L'objectif du congrès de Vienne était de mettre fin à une période révolutionnaire. Une volonté de restaurer l'ordre ancien : A Vienne pendant plusieurs mois, c'est une vie de cour qui s'organise. [...]
[...] A l'évidence à l'image du Tsar on agit par l'autorité, avec violence. On a ainsi une coordination de l'action de la police, des réunions entre grands dirigeants (1820 : Congrès de Troppau : Congrès de Laybach). Ainsi l'Autriche intervient en Italie alors que la France intervient en Espagne. Conclusion : Le Congrès de Vienne est en réalité mêlé d'illusion. Celle de tourner la page de 1789 et revenir à l'Ancien Régime mais aussi de paradoxes puisque les dirigeants sont en train d'accepter les transformations politiques et territoriales du XIXème siècle. [...]
[...] De fait on voit apparaître les premières acceptation. On utilise des figures pour montrer la domination de l'Autriche avec par exemple Beethoven comme figure de l'excellence autrichienne. Au XIXème on aura une nationalisation des aristocraties car auparavant elle parlait le Français, allait d'un château à un autre, le savoir-vivre était le même III) Les premiers craquements : On emprisonne facilement, on exécute parfois si bien que parfois ce sont des mouvements secrets qui sont les réceptacles des contestations libérales. On trouve aussi les Francs Maçons, les associations étudiantes, la charbonnerie, etc. [...]
[...] A coté de l'Autriche on trouve une seconde puissance montante : la Prusse. L'Angleterre a joué un grand rôle en essayant d'éviter qu'il y ait une nation qui devienne trop puissante. Le Tsar Alexandre a le sentiment d'être accepté à égalité avec toutes les autres puissances européenne. C'est Talleyrand qui, grâce à des paroles habiles, parvient à préserver l'unité de la France ainsi que sa puissance. Les trois rois (le Tsar Alexandre, l'empereur François et le roi de Prusse Frédéric Guillaume III) réalisent une sainte alliance qui jurent de rester unis. [...]
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