La Première Guerre mondiale marque un changement d'époque, à tel point que les Français qualifient rétrospectivement (dans les années 1920) la période d'avant-guerre de « Belle Epoque ». La fin du XIXe siècle est fixée à 1914, même si certains historiens considèrent les années 1890-1900 comme le tournant du siècle.
Ce sentiment de rupture n'exclut pas la mise en lumière d'une période comportant des signes annonciateurs/facteurs préparatoires de la guerre. « Marche à la guerre ». Cependant, il est possible d'affirmer cela que parce que nous connaissons la suite des évènements (tendance à aborder de façon régressive ce temps d'avant-guerre). Or, il y a beaucoup de contingence dans le processus qui amène au scénario de guerre de 1914, scénario évité depuis 1815.
[...] Selon l'hypothèse c'est contradictoire : selon le principe du goût pour plus de consommation, l'individu rationnel ne peut pas être indifférent en devant choisir entre deux paniers dont l'un contiendrait plus de biens que l'autre. Propriété 2 : les courbes d'indifférence sont multiples. Le niveau de satisfaction le plus élevé est celui de la courbe de droite. Cela paraît trivial, mais cela permet surtout d'ordonner les préférences entre les différents points ce qui n'était pas possible avant d'avoir tracé les courbes d'indifférence. [...]
[...] (dans un marché suffisamment large où l'information se répand instantanément, comme c'est le cas en particulier du marché boursier, les opérateurs réagissent correctement et quasi immédiatement aux informations s'ils ont la capacité cognitive de les interpréter avec justesse) Puisqu'on parle de deux hypothèses assez fortes qui ne sont pas testées, les conclusions auxquelles on aboutit ne sont pas falsifiables. On ne peut tester ces hypothèses à la base. Ceci est parfois critiqué. Pour remédier à ce problème, plutôt que de tester l'impact d'une politique économique sur la population, les théoriciens de l'économie structurelle utilisent une maquette en essayant de résumer le comportement des agents économiques (rationnels dans des marchés efficients) pour faire des prévisions économiques. [...]
[...] Le choix du consommateur Tous les points de la 1ère courbe sont atteignables : il n'y a pas de contraintes de budget. Dans le cas des 2ème et 3ème courbes, certaines parties de la courbe ne sont pas atteignables, car l'individu ne dispose pas de ressources suffisantes. La courbe verte ne va laisser qu'un seul choix à l'individu. C'est aussi le point correspondant au niveau de satisfaction la plus élevée que peut atteindre cet individu, car ce point est tangent à la droite de contrainte. Mathématiquement, ce point de la courbe = la pente de la droite. [...]
[...] Lorsque le revenu a augmenté la consommation de B diminue (en revanche celle de C a augmenté). La courbe d'Engel équivalente correspondrait à ceci : La théorie du choix du consommateur repose sur des choses observables : le revenu, la quantité consommée, les types de biens. On ne peut pas observer les préférences des individus. L'observation de l'évolution de la consommation se fait donc ici par rapport à l'évolution du revenu. Les conclusions qu'on en tire sont tout de même assez générales. [...]
[...] Les points se rapprochent fortement de la droite de régression. C = -0,47P+105,71. = coefficient de corrélation statistique = 0,9. On peut expliquer 90% de la consommation du tabac à partir de son prix. Lorsque le revenu d'un consommateur augmente, la consommation augmente pour les biens normaux. Tous les biens ne sont pas normaux, il y a des exceptions : Typologie des biens Ex de biens inférieurs : des biens de différente qualité. Le vin par exemple. Si le revenu est faible, les gens consomment plutôt du vin de table ; lorsque leur revenu augmente, la consommation de vin de table va diminuer Ex de biens normaux : les vacances à l'étranger. [...]
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