Seconde guerre mondiale, Pologne, France, Angleterre, Allemagne nazie, belgique, Luxembourg, état-major, ligne Maginot, Stalingrad, afrique du nord, opération Torch, Axe, Alliés, Mussolini
En 1939, après l'attaque de la Pologne en septembre, la France et l'Angleterre déclarent la guerre à l'Allemagne. C'est le début de la drôle de guerre qui va durer jusqu'en mai 1940 et l'attaque fulgurante de l'Allemagne à l'Ouest contre la Hollande, la Belgique, le Luxembourg et la France.
Pendant ces 9 mois, l'État-Major allié voit la guerre à venir comme une succession de batailles périphériques comme sur le théâtre norvégien avec l'offensive navale lancée sur les côtes norvégiennes à Narvik en avril 1940.
[...] Le commandement interallié décide de débarquer en Sicile puis de remonter toute l'Italie ; qui apparaît comme le point faible de l'Axe. Une fois encore, les Alliés veulent aller au plus vite par un théâtre d'opération secondaire : l'Italie de Mussolini. Néanmoins l'offensive est stoppée nette sur la ligne Gustav ; une ligne de défense allemande au centre de l'Italie. Prendre l'Italie devait permettre d'atteindre Berlin au plus vite mais les Alliés n'y parviennent pas par ce biais : il faudra attendre juin 1944 et le Débarquement allié sur la Normandie pour que les Alliés s'élancent adroitement vers l'Allemagne. [...]
[...] Les Alliés franco-britanniques envisagent alors une guerre qui ne serait pas frontale mais périphérique. Les théâtres d'opération seraient alors secondaires. Cette stratégie s'explique car les Franco-britanniques ne veulent pas d'un affrontement direct avec Hitler et ils ne souhaitent pas une guerre totale. Hitler quant à lui fait croire d'une porte ouverte à de possibles négociations avec l'Angleterre pour que l'Europe soit allemande mais avec une part du gâteau pour les Anglais. Le statut de la France serait d'être contrainte de plus ou moins collaborer du fait de pressions fortes sur sa classe politique, notamment une menace de guerre ou de cassure de l'alliance avec l'allié britannique : le spectre d'une fin de guerre rapide. [...]
[...] Comment la Seconde guerre mondiale avait-elle été pensée ? SOMMAIRE : 1939 : la seconde guerre mondiale en une série de batailles périphériques : le spectre d'une fin de guerre rapide Préambule : En 1939, après l'attaque de la Pologne en septembre, La France et L'Angleterre déclarent la guerre à l'Allemagne. C'est le début de la drôle de guerre qui va durer jusque mai 1940 et l'attaque fulgurante de l'Allemagne à l'Ouest contre la Hollande, la Belgique, le Luxembourg et la France. [...]
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