Collaboration en France, résistance en France, Allemagne, collaborateurs, Hitler, Pétain, Montoir
De l'accord entre Hitler et Pétain à Montoir en 1940, jusqu'à la libération en 1944, il règne sur le France un malaise, un atmosphère négative mêlant peur et haine des Allemands.
Les français ont adopté trois attitudes complètement opposées : rester passifs, collaborer ou résister.
Qu'est ce que collaborer ? Qu'est ce que résister ? Comment la résistance française a-t-elle aidé les alliées à vaincre les ennemis ? Quelles ont été les motivations, les conséquences, les actions de la collaboration et la résistance, en France pendant la seconde guerre mondiale ?
[...] Quelles ont été les motivations, les conséquences, les actions de la collaboration et la résistance, en France pendant la seconde guerre mondiale ? Collaborer, pendant la seconde guerre mondiale, c'est aider et mener des actions en faveur de l'Allemagne. En France, ce sont que peu de personnes qui ont collaborer, mais bien que peu nombreux, ils ont tenu un rôle important dans cette guerre. Si l'on collaborait à cette époque l à, c'était parce que la France se voyait déjà perdante face au Reich. [...]
[...] Donc, de 1939 à 1944, la collaboration et la résistance ont été deux attitudes opposées adoptées par les Français. Et malgré les ennemis de l'Etat français qui étaient très importants, la population a su résister et faire face aux combats. D'ailleurs, les combattants, les résistants eux ont été récompensés pour leur courage et énergie dépensé au profit de leur pays, la France. D'autre part, au lendemain de la guerre, les procès de Nuremberg ont condamnées les criminels nazis et ont montré du doigts les collaborateurs afin qu'ils soient jugés prochainement. [...]
[...] Les collaborateurs avaient des ennemis directs en France, les résistants. En effet, certains français avaient adopté une toute autre attitude, la résistance. Pendant la seconde guerre mondiale, résister c'est mener des actions hostiles au peuple ennemi, les allemands ainsi donc à ces collaborateurs. Deux raisons pouvaient motiver ces courageux résistants : le patriotisme et leur idéologie contre le nazisme. En effet, la peur ou le refus de l'idéologie allemande a occasionné ce comportement contre l'Allemagne ou, et pour la France et ses alliés. [...]
[...] Il existait la collaboration économique. En effet, certains français profitaient du pouvoir d'achat de l'Allemagne pour leur vendre de la marchandise. Il y avait la collaboration mondaine : les femmes cherchaient la compagnie des allemands ; les artistes essayaient de sympathiser avec eux. Mais pour la majeure partie, il s'agissait de la collaboration tactique qui consistait à attirer leur clémence. Les collaborateurs avaient le rôle de dénoncer des résistants, des juifs et autres ennemis du peuple maître aux allemands. Ils trahissaient, ainsi, des innocents pour s'attirer leur sympathie. [...]
[...] Il existait deux sortes de résistance, la résistance extérieures et la résistance intérieure. Trop développer le sujet de la résistance extérieure serait s'évader du thème concernant uniquement la France mais il serait intéressant d'en expliquer les principales caractéristiques. Le gouvernement, dont De Gaulle est parti de France pour rejoindre le Royaume uni. De la il lance un appel radio dans l'amission honneur et patrie pour inciter les français restés dans leur pays à résister. La résistance intérieure était, sous les vœux de De Gaulle, dirigée par Jean Moulin. [...]
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