Asie, Japon, meiji, Chine, empire russe, empire français, empire britannique, guerre russo-japonaise
Le mot Asie n'existe pas en Asie, à l'origine l'Asie est une province de l'empire romain d'Orient.
L'Asie a ses frontières d'origine au Bosphore, aux monts Oural mais les géographes classiques mettent ses frontières au fond de la Méditerranée.
Ce qui importe pour approcher cet espace est l'Himalaya qui est un prolongement des Alpes.
L'espace qui va être étudié cette année est l'Asie tournée vers le Pacifique c'est-à-dire l'archipel japonais, la Mandchourie, la Corée, la Chine et l'Asie du sud-est.
[...] Il faut une économie déjà constituée pour prétendre dominer ses voisins. On n'est pas encore dans le Japon industriel, il y a certes les débuts de la sidérurgie, on observe seulement que la production de houille s'élève à 13 millions de tonnes en 1905. Sur le plan industriel, le Japon est surtout connu pour son industrie textile avec la soie et surtout le coton dont il inonde le marché chinois. Le corps social et politique japonais est animé par une idéologie très nationaliste, les Japonais se sentent comme un corps unique, dont l'individu compte peu, dans une société où la clé e voûte est l'empereur que tout le monde est supposé suivre comme un seul homme. [...]
[...] L'Asie orientale au XXe siècle Le mot Asie n'existe pas en Asie, à l'origine l'Asie est une province de l'Empire romain d'Orient. L'Asie a ses frontières d'origine au Bosphore, aux monts Oural, mais les géographes classiques mettent ses frontières au fond de la méditerranée. Ce qui importe pour approcher cet espace est l'Himalaya qui est un prolongement des Alpes. L'espace qui va être étudiée cette année est l'Asie tournée vers le pacifique c'est-à-dire l'archipel Japonais, la Mandchourie, la Corée, la chine et l'Asie du sud-est. [...]
[...] En Asie du Sud-est, tous les pays sont sous domination coloniale sauf le Sian. Le rapport aux étrangers domine la période qu'on va étudier. En chine on ne veut pas voir d'étrangers dans les villes et on met des concessions étrangères à Shanghai et à Tientin. Ces concessions deviennent des pôles urbains plus importants que les villes chinoises traditionnelles. Le Japon perce l'écran, la Chine est effondrée, l'Asie du Sud-est est un enjeu entre les puissances entre elles et entre les puissances et le Japon. [...]
[...] L'empire tente de se doter d'une armée moderne qui sera appelée l'armée du nord dont le chef qui est l'homme fort de toute cette période est Yuan Shikai, cela lui donne aussi une vocation politique. En 1908, l'impératrice Ci Xi décède en même temps que Guan Xu. Les hommes qui viennent au pouvoir à Pékin en 1908 sont le frère cadet de Guan Xu qui est le chef de clan des conservateurs ce qui ne va pas aider à accélérer les réformes. Il est appelé le régent et est l'empereur par procuration de la Chine en 1908. [...]
[...] L'accord se fait finalement et 630 millions de francs or sont prêtés à la Chine. Avec cet argent se développe un programme de réorganisation administrative chinoise, quatre conseillers étrangers sont fournis avec l'argent à l'état chinois, les revenus d'un certain nombre d'impôts comme l'impôt sur le sel sont placés en garantie de cet emprunt. L'impossible restauration de l'État Il y a bien une constitution qui est rédigée en mars 1912 qui prévoit des élections aux suffrages censitaires. Elle est sur modèle américain, avec deux chambres, un président (Yuan Shikai) qui dirige l'exécutif et un système bipartite avec le parti progressiste et le Guomindang (qui signifie partis du peuple) qui est l'outil principal de Sun Yat Sen. [...]
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