1880 à 1914, France Gambetta, Jouhaux, Républicains, Radicaux, III République, Affaire Dreyfus, Crise boulangiste, Jules Simon, Jules Grévy, Jules Ferry, Waldeck Rousseau, Napoléon III
Cours complet de première ES sur l'histoire de France 1880 à 1914 L'enracinement de la culture républicaine
[...] Ils enseignent les valeurs républicaines. Clémenceau veut toucher aux impôts alors que Gambetta vaut convaincre tout le monde. L'école rassemble les républicains. La laïcité, l'égalité des chances et des droits sont prônées par la république ainsi que la solidarité, la fraternité et le patriotisme Les Républicains modérés au pouvoir (1878/1899) Les Républicains opportunistes (Gambette, Ferry, Grévy, Simon ) sont au pouvoir. Ils ont réalisés une œuvre considérable. Ils ont transformés les Français en Républicains. Républicanisation surtout des paysans, désormais la République peut s'appuyer sur de nouvelles couches sociales (Gambetta). [...]
[...] La famille de Dreyfus envoie une lettre au Président. Il est gracié mais toujours coupable. Il sera réhabilité en 1906, on le réintègre dans l'armée et il devient général. Il y a toujours beaucoup d'antisémites. Ceux qui on gagné sont les dreyfusards, les camps des autres devient impopulaire. On a un glissement à gauche jusqu'en La République radicale et la montée des oppositions A. Les radicaux Clémenceau est un radical important (centre gauche). Il a évolué de l'extrême gauche au centre gauche. [...]
[...] Zola quitte la France ou il ne se sent plus en sécurité, il va en Angleterre et il est condamné à un an de prison qu'il ne fera pas. Le gouvernement sent que les choses peuvent mal tournées. Il met en place une nouvelle stratégie. Il fait un texte qui montre la culpabilité de Dreyfus. C'est un faux. L'opinion politique est totalement divisée : deux thèses : soit la vie d'un homme passe avant tout et il faut sortir de sa prison, soit on le laisse ou il est. Les monarchistes, les nationalistes, les personnes qui défendent l'armée car elle est garante de la sécurité du pays. [...]
[...] L'Eglise selon eux tient des discours obscurantistes. Ils sont très matérialistes et scientifiques. On a un attachement très fort à l'école. Elle lutte contre les doctrines religieuses. Ils sont très attachés à la propriété privée, les gens de la classe moyenne les aiment beaucoup, le programme est appliqué a travers différents actes et lois. Séparation de l'Eglise et des lois par la Concordat. L'Etat n'entretien plus le clergé ; il ne paie plus les desservants des cultes. Ils seront payés par les fidèles. [...]
[...] En 1886, le Général Boulanger devient ministre de la guerre. Il se rend populaire auprès des soldats (on rétablit la revue du 14 juillet, les casernes sont mieux Il se forme une image, on le surnomme le Général Revanche (sur l'Allemagne). Il profite de l'affaire Schnæbelé. Un policier Français a franchi la frontière pour poursuivre un voleur, le gouvernement français s'aplatit face aux Allemands, seul Boulanger est contre. Il devient un héro. On apprend que Jules Grévy, a un gendre qui profite de sa situation pour vendre des légions d'honneur. [...]
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