Le rideau de fer, Winston Churchill, relations internationales, Seconde Guerre mondiale, conférence de Yalta, expansion soviétique
Le 5 mars 1946, le président des États-Unis Harry Truman invite Winston Churchill à l'université de Fulton dans le Missouri, celui-ci y prononce un discours politique qui concerne les relations internationales. Winston Churchill est le premier ministre britannique durant toute la Seconde Guerre mondiale, et est présent à la conférence de Yalta en février 1945 aux côtés de Staline et Roosevelt. Puis, il devient chef du parti conservateur britannique après avoir perdu les législatives en 1945, néanmoins il reste un homme politique influent.
Le 5 mars 1946, quelques mois après la victoire de la grande alliance contre le nazisme, Churchill est inquiet, par son discours, il tente de prévenir du danger de l'expansion soviétique.
[...] Churchill dénonce par son discours. Churchill accuse la Russie de prosélytisme et il est persuadé que l'expansion soviétique, est une menace pour les relations internationales à la liberté des droits de l'homme. L''auteur cite il n'y a rien au monde qu'ils admirent autant que la force Pour Churchill, l'Union Soviétique profite de sa puissance militaire et de sa réputation de vainqueurs à l'honneur pour imposer son pouvoir aux pays faibles qui l'entoure, il cite rien qu'ils ne respectent moins que la faiblesse militaire ».De plus il accuse Staline d'avoir violé les traités de l'alliance en ne passant pas par les éléctions libres et ne retirant pas son armée des territoires libérés. [...]
[...] ni quelles seront les limites Que signifie pour Churchill, l'expression rideau de fer ? a)L'expansion soviétique. Après la seconde guerre mondiale, les accords de Yalta ont permis a l'Union Soviétique d'acquérir la Pologne de l'est qui elle-même a été élargie en bénéficiant de l'Allemagne de l'ouest .Ainsi, Staline ne craignais pas d'ouvrir le chemin aux pays tentés de l'agresser. Mais pour ce dernier, cela ne suffit pas, il veut récupérer les territoires perdus depuis et peu à peu prendre le contrôle des nations destinés à avoir des élections libres , selon les accords de Yalta , et protégées aussi par l'ONU , une organisation créée en 1945, qui réunit pratiquement tous les états de la planète y compris l'URSS , afin de faciliter la coopération , les échanges , d'assurer les droits de l'homme et enfin de garantir la paix internationale en évitant de nouvelles guerre. [...]
[...] Qu'en est-il selon Churchill, des accords de Yalta ? a)La méfiance s'installe dès la conférence de Yalta. En février 1945, Roosevelt, Churchill, Staline sur le point de triompher contre le nazisme, se rencontrent au sujet du sort du monde après la seconde guerre mondiale. Ainsi, un partage des territoires Européens est convenu, ainsi que la réaffirmation sur le droit des peuples à disposer de lui meme. Mais Staline après la prise de Varsovie, le 17 janvier, avait déjà imposé un régime communisme en Pologne, les alliés occidentaux ont du négocier la garantie d'avoir des éléctions libres dans ce pays. [...]
[...] Commentaire de document le rideau de fer de Winston Churchill. Le 5 mars 1946, le président des États-Unis Harry Truman invite Winston Churchill à l'université de Fulton dans le Missouri, celui-ci y prononce un discours politique qui concerne les relations internationales. Winston Churchill est le premier ministre britannique durant toute la Seconde Guerre mondiale, et est présent à la conférence de Yalta en février 1945 aux côtés de Staline et Roosevelt. Puis, il devient chef du parti conservateur britannique après avoir perdu les législatives en 1945, néanmoins il reste un homme politique influent. [...]
[...] III° Quelle image, Churchill donne de l'URSS ? a)Les relations pendant la guerre. Churchill voit la Russie comme une ombre il cite j'ai appris à connaitre nos amis les alliés Pendant la seconde guerre mondiale, les Etats Unis dirigés par Roosevelt, Churchill et Staline avaient des interets politiques communs : la lutte commune contre le nazisme et les Etats Unis avaient besoin d'aide pour repousser les attaques du Japon, ils ne savaient pas encore que la bombe atomique allait etre au point. [...]
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