Médias et violences durant la guerre du Golfe, Arnaud Mercier, Cultures et Conflits, censures, opérations militaires, impact des images, bombardement de Bagdad, soft power
La nature de ce texte est un article du journal "Cultures & Conflits". Cet article a pour nom "Médias et violences durant la guerre du Golfe", soigneusement écrit par Arnaud Mercier. Comme le titre l'indique, cet article de journal relate les violences accumulées dans la guerre du Golfe et théoriquement, le rôle des médias dans cette guerre.
[...] Les nouveaux défis de la gestion médiatique de la violence Aujourd'hui, les médias ne peuvent se contenter d'informations internes, ainsi ils prélèvent des informations venant d'autres pays, relatant des évènements, des faits, ce qui créait du soft-power au pays d'origine qui se fait médiatiquement connaître. De plus, les violences perpétrées ont été intégrées dans des enjeux politiques entre les pays. De ce fait, la guerre du Golfe devient un atout - certes à partir de fait violents - pour le soft power du pays. Ce pays accorde une importance capitale pour les moyens de communication et le contenu en lui-même qui sont désormais des éléments de la puissance internationale. [...]
[...] Médias et violences durant la guerre du Golfe - Arnaud Mercier (1993) La nature de ce texte est un article du journal « Cultures & Conflits ». Cet article a pour nom « Médias et violences durant la guerre du Golfe », soigneusement écrit par Arnaud Mercier. Comme le titre l'indique, cet article de journal relate les violences accumulées dans la guerre du Golfe et théoriquement, le rôle des médias dans cette guerre. I. La violence des censeurs Les militaires ont mis en place un système appelé « pools » qui ne sont d'autres que l'intégration d'un groupe de journalistes aux opérations militaires afin de relater des informations précises. [...]
[...] Ces procédés n'avaient pas pour but l'interdiction d'images violentes de la guerre, mais de protéger les âmes sensibles du public. C'était de la censurée protégée. Les procédés furent l'euphémisation, qui avec les destructions de biens qui créèrent de nombreux dégâts collatéraux, permirent la diffusion des dégâts et non de la destruction. On montre la conséquence, mais pas la cause pour ne pas que le public assiste à cette violence. Ensuite vint l'esthétisation, des images prises par avions assistant à des massacres en direct tels que le bombardement de Bagdad qui ont fasciné les journalistes. [...]
[...] Ces idées apportent plus de respects envers les populations civiles puisque c'est devenu une guerre dont la maîtrise technologique dîtes destructrice est important. Ensuite, la journaliste utilise la distanciation, autrement dit une barrière entre les faits et le réel. C'est-à-dire que les images dites trop violentes sont transformées par des animations graphiques afin d'être fictives. Les personnes sont de vulgaires cartons ainsi que les transports utilisés dans la guerre. Et les images de la guerre sont de mauvaises qualités puisqu'elles ont été prises par avion. [...]
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