Histoire comtemporaine, Maurice Genevoix, journée du 20 février 1915, Première guerre mondiale, réalisme, soldat, combattant, traumatisme, puissance de feu, effet psychologie, condition de vie, mort
Dans cet extrait l'auteur nous parle de la journée qu'il a vécue. On peut retrouver dans ce texte que les soldats sont victimes de traumatismes. Une question se pose, quelle est l'expérience combattante de la Première Guerre mondiale. Dans un premier temps, nous verrons la puissance de feu et les effets sur les soldats, puis nous allons montrer les effets psychologiques sur les combattants. Pour finir, nous allons montrer les conditions de vies des soldats.
[...] Les soldats qui ont vu l'horreur de la guerre en voyant d'autres soldats mourir par des obus sont effrayés car ils ont peur de subir le même sort comme le prouve « même sifflements, les mêmes chuintements, les mêmes explosions, les mêmes fumées sombres ; et les shrapnells qui tintent là-bas » aux lignes 21 et 22. Pour finir, nous pouvons dire que les conditions de vie des soldats étaient compliquées. Ils étaient victimes de nombreuses « souffrances » à la ligne 3 mais les soldats ne pouvaient et ne devaient pas abandonner pour autant. Certains préféraient être tués pour ne plus subir cette souffrance comme le prouve la ligne 10 à 12 « Mon couteau . [...]
[...] Prenez-le mon lieutenant : un tout petit coup ne me fera plus mal . ». Le soldat veut que son lieutenant lui coupe la jambe « Mon lieutenant, vous me couperais bien la jambe, vous ? » à la ligne 8 pour qu'il souffre moins. Avec le « vous ? » nous pouvons sous-entendre que le soldat avez déjà demandé à un ou plusieurs autre de faire ce qu'il demande mais apparemment ils ont refusé. Cela est une tache bien trop difficile à exécuter. [...]
[...] A la ligne vient s'ajouter « la pluie » à la ligne 19, ce qui fait en même temps de « la boue » à la ligne 19 également. En conclusion, nous pouvons dire que la Première Guerre mondiale a été une horreur pour les soldats. En effet, avec les effets psychologiques et les morts et les blessés, cela ne laisse pas beaucoup de gaieté dans la vie des soldats. La Première Guerre mondiale est la guerre qui a mobilisé le plus de soldats, donc plus de morts, et c'est pour cela qu'elle restera gravée dans l'histoire. [...]
[...] Extrait de la journée du 20 février 1915 - Maurice Genevoix - L'expérience combattante pendant la Première Guerre mondiale Maurice Genevoix est un écrivain français du 20e siècle qui a hérité du réalisme. Le texte que nous allons étudier est Extrait de la journée du 20 février 1915. Dans cet extrait l'auteur nous parle de la journée qu'il a vécue. On peut retrouver dans ce texte que les soldats sont victimes de traumatismes. Une question se pose, quelle est l'expérience combattante de la Première Guerre mondiale. [...]
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