Roosevelt, discours d'investiture, grande dépression, États-Unis, américains, parti démocrate, situation du pays, entreprises industrielles, pauvreté croissante
Les États-Unis connaissent une forte crise économique en 1929, suite au Krack boursier d'octobre 1929. En effet, les Américains achètent beaucoup d'actions et s'endettent, pensant pouvoir se faire un bénéfice. Mais malheureusement le prix de celles-ci ne cessa d'augmenter. Alors, le 24 octobre, tout s'écroule. Cet évènement plongea les Américains dans une « grande dépression » car du jour au lendemain, ils se retrouvèrent, pour la majorité, au chômage, et ruinés. Le document que nous avons à disposition est le discours d'investiture de Roosevelt.
[...] De plus avec le « Dust Bowl », des tempêtes de poussière détruisent les récoltes, alors il y a de forte migrations. Les familles qui avaient de l'argent de coté n'en n'ont plus « l'épargne de plusieurs années s'est évaporée ». Roosevelt met l'accent également sur le nombre de personne au chômage qui doivent survivre par leur propre moyens, « foule de citoyens sans emplois ». En effet en 1933 la majorité des états sont à plus de 10 à 25 pour cent de chômage. [...]
[...] En conclusion, le président Roosevelt est très impliqué pour sortir son pays de la « Grande Dépression ». Il mesure bien la situation grave dans laquelle le pays se trouve. Pour cela il traitre le problème avec urgence et très rapidement. Il crée des emplois grâce à la politique des grands travaux, ce qui permet également aux Etats-Unis de renouveler ses infrastructures. Il décide aussi de faire intervenir l'état dans le secteur financier pour pouvoir effectuer un contrôle, et stabiliser l'économie. [...]
[...] Il s'agit « de remettre les gens au travail.» Il y croit « ce n'est pas un problème insoluble ». Il est urgent que les gens sortent de la misère du chômage. Il appuie cette idée par un « recrutement du gouvernement ». Puis il emploi une expression très marquante, pour lui, ce problème doit être traité comme « l'urgence d'une guerre ». C'est très sérieux et cela doit être immédiat. Roosevelt veux accomplir de « grands projets » grâce à de nouveaux emplois. L'idée est de « réorganiser l'utilisation des immenses ressources naturelles ». [...]
[...] Par la suite , Roosevelt énumère les problèmes un à un. « Les valeurs ont chuté à des niveaux fantastiques ». Ici il emploi « fantastiques » dans le sens d'extraordinaire. Le prix des actions ne vaux plus rien. « les taxes ont augmenté », « notre capacité à payer s'est effondrée ». Effectivement la pauvreté est croissante aux Etats-Unis. Les gouvernements n'ont plus assez d'argent, les banques également « les gouvernements font face à de sérieuses réductions de revenus ». [...]
[...] Ensuite, Roosevelt parle d'une « planification nationale ». Il fixe donc des objectifs qualitatifs et quantitatifs. On ressent bien sa volonté de remettre les Etats-Unis en marche. Quelques lignes plus tard, il emploi « deux protections contre le retour des maux de l'ordre ancien ». Il fait allusion à la spéculation bancaire qui à poussé les américains à s'endetter. Roosevelt est ferme et clair « un strict contrôle de toutes les activités bancaires de crédits et d'investissements ». L'état va donc exercer un contrôle sur le secteur financier , et donc intervenir dans la vie sociale. [...]
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