Croissance économique et économies-monde successives / De nouvelles conflictualités depuis la fin de la Guerre froide
[...] Devoir n°1 - Croissance économique Le corpus de documents proposé donne à voir l'évolution de la croissance économique mondiale et un aperçu des mesures d'encadrement politiques. Le premier document est réalisé à partir de l'ouvrage Le Capital au XXIème siècle (2013) de Thomas Piketty, prix Nobel d'économie ; et le second est un extrait du discours d'investiture de F.D. Roosevelt le 4 mars 1933. L'évolution de la croissance économique depuis le XIXème siècle La croissance économique est la hausse sur une période déterminée de la production et des dimensions caractéristiques de l'économie d'un pays, se manifestant par une augmentation des revenus distribuables. [...]
[...] Pour conclure, la croissance économique reflète l'organisation de l'économie, notamment lorsque l'on s'intéresse à la répartition des richesses et à son évolution. Toutefois, dès les années 30, comme le montre le discours de Roosevelt l'on s'intéresse à l'économie hors de ses frontières. Devoir n°3 : De nouvelles conflictualités depuis la Guerre Froide À la fin de la Seconde Guerre Mondiale, un nouvel ordre mondial s'est constitué : dominé entre deux blocs : occidental (avec les États-Unis comme leader) et soviétique (dont la tête de pont était l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques - URSS). [...]
[...] Le discours de F. D. Roosevelt de 1933 montre également une volonté de mettre le peuple américain au travail (pour créer du développement économique). Les guerres mondiales marquent ensuite un point de rupture : en 1950, l'Amérique du Nord (2048 milliards) dépasse l'Europe occidentale (1948), le Japon commence également à tirer son épingle du jeu (222 milliards en 1950, mais 1400 en 1970 et 3172 en 1990). Entre 1990 et 2012, les pays qui connaissent les croissances de leurs parts respectives du PIB les plus importantes sont ceux de l'Europe de l'Est, de l'Amérique Latine, mais surtout la Chine, et l'Inde. [...]
[...] Par ailleurs, aucune information sur les pertes humaines qu'elles soient américaines, iraquiennes, issues des groupuscules terroristes ou mêmes civiles n'est donnée. Le document apparaît dès lors comme strictement idéologique et manque clairement d'objectivité mais également de concision. Aussi, il est difficile de mesurer l'utilité de cette victoire, et ce d'autant plus que le Président américain annonce de nouvelles batailles à venir, sans en indiquer ni l'ordre, ni la temporalité, ni même la localisation. Le procédé paraît très arbitraire, d'autant plus que le lien entre le pays attaqué - ici l'Iraq - et Al-Qaeda n'est pas établi. [...]
[...] Ce document permet ainsi de saisir un certain état d'esprit. Les grands principes des États-Unis sont également réaffirmés : droits, libertés, sécurité et paix, termes répétés à de multiples reprises. Toutefois, le discours se termine en disant que la guerre n'est pas finie, cette victoire n'apparaît dès lors que comme partielle. Les limites du document Ce document ne donne à voir que le point de vue nord-américain, forcément très orienté dans cette guerre. En effet, il s'agit d'une réaction à des attentats meurtriers. [...]
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