La Conférence de Yalta marque la fin de la deuxième Guerre Mondiale et son bilan extrêmement lourd. Ainsi, ses principaux acteurs ont l'intention à travers cet accord, d'organiser et de reconstruire le monde d'après guerre pour ne jamais avoir à revivre une telle guerre mondiale (...)
[...] Démontrez que Yalta n'est pas un partage du monde. D'après son contexte, l'idée que la conférence de Yalta est impliquée un partage du monde peut être soutenue. Malgré cela, une étude plus approfondie du contenu des accords peut absolument réfuter cette idée. En effet, l'idée principale qui ressort de ces accords serait plutôt un acte fondateur de l'organisation internationale générale pour la sauvegarde de la paix et de la sécurité soit les prémices d'une nouvelle organisation pour l'union des nations et non un partage du monde à l'avantage des trois puissances. [...]
[...] Sujet : La Conférence de Yalta Présentez le contexte et les auteurs. Tenue du 4 au 11 Février 1945 dans la région balnéaire de Yalta sur la côte de la Mer Noire, la Conférence de Yalta marque la fin de la seconde Guerre Mondiale, et présente le futur d'un monde affaiblit par la guerre, en faveur des trois puissances et du quatrième membre vainqueurs du conflit mondial. En effet, cette conférence étant l'application concrète de la Chartre de l'Atlantique du 14 Août 1941, les trois puissances : l'URSS, Le Royaume-Unis et les Etats-Unis et le quatrième membre si elle le désire la France, décident de la reconstruction politique et de l'organisation mondiale d'après-guerre. [...]
[...] Tous les signataires peuvent-ils être satisfaits de cet accord ? Les signataires de l'accord sont satisfaits de l'accord dans la mesure où il répond aux objectifs fixés principaux de restructurer un monde détruit par la guerre et de garantir la stabilité du monde après la chute du IIIe Reich. De plus chaque point estimé le plus important pour chacun des représentants a été abordé et étudié avec rigueur (comme celui de Roosevelt par exemple sur la mise en place de la future Organisation des Nations Unies). [...]
[...] C'est d'ailleurs le cas pour l'avenir politique démocratique prévu pour la Pologne. En effet, en prenant du recul, nous savons que l'idée d'une Pologne démocratique n'était pas envisagée par Staline qui avait mis en place un gouvernement communiste, qu'il n'a pas l'attention de dissoudre, malgré la conférence de Yalta. Ainsi, Staline sur ce point de l'accord ne va pas être totalement satisfait. En prenant toujours du recul, ces insatisfactions seront se montrer lors des prémices de la guerre froide avec Staline qui commence à mépriser ces accords démocratiques. [...]
[...] L'objectif premier reste tout de même réorganiser le monde pour ne jamais avoir à revivre une telle guerre, même si pour cela il faut en venir au partage d'un pays (ex : L'Allemagne). La division de l'Europe et même du monde n'est pas la conséquence des signatures du communiqué de Yalta mais plutôt de la guerre froide qui deviendra de plus en plus inévitable. [...]
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