Commentaire du décret du Concile de Trente sur l'invocation, la vénération et les reliques des Saints et sur les Saintes images. Il explique et critique les mesures lors du concile .
[...] L'évêque peut hésiter et ne pas savoir si une image ou une relique peut être placé ou non, il doit alors demander à son entourage qu'il considère éclairé mais s'il y a toujours controverse il doit attendre qu' un concile provincial (Assemblée des évêques d'une province ecclésiastique) se réunit pour en débattre et si rien n'aboutit du concile le pape doit trancher qui ( ) Pontife 46-47) .Cette mesure montre qu l'Eglise veut mieux contrôler tout ce qui pourrai être nouveau pour l'empêcher de nuire le plus vite possible et non pas répéter l'erreur du protestantisme qui c'est répandue partout en Europe comme une traînée de poudre , le contrôle est bien organisé et même le pape peut intervenir, preuve que les novations dans l'Eglise ne sont plus pris à la légère . Le concile de Trente et particulièrement le décret sur la vénération des saints et des images a été construit en réaction à la réforme protestante. Ce concile n'avait aucun but de conciliation entre les deux Eglises mais d'affirmation de L'Eglise romaine, le concile pose les bases d'une réelle séparation ente les deux Eglises qui provoquera plus tard des guerres de religions mais il révolutionne l'Eglise catholique qui connaît alors sa renaissance. [...]
[...] Les protestants critiquent aussi le fait que les images ne montrent que le côté physique des saints, elles ne peuvent difficilement exprimer la vertu, de plus elles peuvent comporter des erreurs théologiques que les fidèles risquent de mémoriser. Ils ne peuvent se résoudre à ce que les images soit la bible des illettrés . Ne voyant pas d'autres moyens, l'Eglise romaine préfère encore éduquer ces fidèles avec les images plutôt que d'adhérer au dogme protestant, cependant le concile reste prudent et confie aux évêques le devoir de contrôler rigoureusement les représentations, images et reliques des saints . Le concile de Trente n'a pas prit que des décisions dogmatiques, il a aussi décrété des mesure disciplinaires. [...]
[...] le concile propose d'instruire le peuple en utilisant les images. Il reconnaît donc que le peuple à besoin d'une certaine instruction religieuse hors en 1563 elle ne peut ce faire en lisant la bible ou en écoutant la messe, le concile choisit donc l'apprentissage par les images, cependant les protestants critiquent cette méthode. Le concile en 1546 déclare que la vulgate (traduction de la bible en latin) est le livre de référence et ne comporte aucune erreurs en réaction aux traductions de bibles circulant en langues vernaculaires (langue du peuple) imprimés par les protestants et au projet d'Erasme qui déclare que la vulgate comporte des erreurs et que sa traduction grecque est plus juste. [...]
[...] Les protestantisme respecte à la lettre les dix commandements dont le deuxième Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. alors selon ce commandement les protestants n'acceptent aucune images alors que les catholiques son moins intransigeant sur cette règle divine, le concile condamne cette thèse qui ( ) impiété 10-15) et aussi les iconoclastes contre les destructeurs d'images 25) . Luther critique le fait que des fidèles visitent des reliques pour recevoir des indulgences et non pas pour rendre hommage au saint. [...]
[...] Calvin propose a l'Eglise romaine de créer un registre de relique car il se rend compte qu'il y a beaucoup trop de reliques pour si peu de saints et craint que les fidèles ne prient aux mieux des faux saints au pire des animaux cependant l ‘Eglise ne se soucie pas de ce problème et ne cherche pas à contrôler ces dérives. L'évêque doit aussi vérifier qu'aucun profit n'est réalisé avec les images toute ( ) éliminé 42) alors qu'au et qu' au 16e siècle beaucoup d'ecclésiastiques s'enrichissaient par la vente de reliques, et qu'aucune image ne soit la cause d'une superstition toute ( ) sacrées 41) . [...]
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