Après la chute de l'empire napoléonien, les vainqueurs restaurent, à l'issu du Congrès de Vienne, une Europe monarchique et réactionnaire. Metternich, le chancelier autrichien, sera le véritable instigateur de l'établissement d'un système d'Ancien Régime, destiné à contrer les velléités des mouvements libéraux. En effet, car l'Europe de 1815 parle un langage nouveau, celui de la liberté et du droit des peuples à disposer d'eux mêmes, qui sont devenus des principes couramment exprimés, et hérités de la Révolution française.
Même si de nombreux mouvements nationaux se confondent avec les mouvements libéraux, il n'en va pas de même pour tous. Le cas de l'unité italienne en est un bon exemple. Des Carbonari à Cavour, en passant par Mazzini et Garibaldi, tous rêvent d'unifier les États italiens mais selon des conceptions différentes, libérales, révolutionnaires ou autres. Des années 1820 à 1870, c'est 50 années de lutte pour la formation d'une Italie unifiée qui sont retracées au travers d'un tableau chronologique détaillé. Il permet d'observer les évolutions de l'unité italienne, avec ses échecs et ses réussites, er de comprendre qui en sont les grands acteurs.
[...] Des années 1820 à 1870, c'est 50 années de lutte pour la formation d'une Italie unifiée qui sont retracées au travers d'un tableau chronologique détaillé. Il permet d'observer les évolutions de l'unité italienne, avec ses échecs et ses réussites, et de comprendre qui en sont les grands acteurs. Bibliographie sélective Berstein (Serge), Milza (Pierre), L'Italie contemporaine, du Risorgimento à la chute du fascisme, Armand Colin, coll. U Guichonnet (Paul), L'unité italienne, Paris, PUF, coll. Que sais-je? [...]
[...] En effet, car l'Europe de 1815 parle un langage nouveau, celui de la liberté et du droit des peuples à disposer d'eux- mêmes, qui sont devenus des principes couramment exprimés, et hérités de la Révolution française. Même si de nombreux mouvements nationaux se confondent avec les mouvements libéraux, il n'en va pas de même pour tous. Le cas de l'unité italienne en est un bon exemple. Des Carbonari à Cavour, en passant par Mazzini et Garibaldi, tous rêvent d'unifier les États italiens mais selon des conceptions différentes, libérales, révolutionnaires ou autres. [...]
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