La drôle de guerre
Série de violations du traité de Versailles. Stratégie d'Hitler. Invasion de la Pologne. Déclaration de guerre. Stratégie défensive de la part de la France (pacifisme, ligne Maginot). Résignation et résolution chez les Français. Il ne se passe rien c'est la drôle de guerre. Offensive allemande rapide et brutale, sur la Belgique et les Pays Bas.
La défaite
Les troupes allemandes marchent sur Paris, c'est la Blitzkrieg. De Gaulle tente de mettre en place une stratégie défensive, peine perdue. Débâcle, exode, panique générale dans le pays. Au gouvernement on hésite entre armistice (Pétain) et capitulation (Paul Reynaud). Pétain est nommé président du Conseil, il propose immédiatement la préparation d'un armistice.
Une défaite sans appel
(...)
[...] Il doit unifier la résistance dans la France entière. Très vite, il crée le Conseil National de la Résistance, toutes les composantes de la résistance y sont représentés. Union sacrée d'hommes très différents. Jean Moulin est ensuite arrêté et tué. La résistance ne retrouvera jamais de véritable chef et de véritable unité. Le CNR élit un président, Georges Bidaut. La lutte politique reprend ses droits. Le CNR va organiser l'après guerre (fonctionnaires, gouvernement, assemblée). Les américains avaient prévus l'AMGOT. Lorsque Vichy disparaît, les hommes de la résistance prennent le pouvoir. [...]
[...] LA IVEME REPUBLIQUE ENTRE LE SUCCES ET LE GOUFFRE (1952-1958) LA POLITIQUE ETRANGERE (1952-1958) POLITIQUE INTERIEURE (52-55) L'AGONIE (1955-1958) -Les colonies Les forces politiques. Parti colonial, hétérogène, la décolonisation comme concrétisation de la menace communiste et comme fin de la puissance française. Une contestation de la colonisation chez les communistes et les catholiques. La SFIO est divisée. Le MRP favorable à l'évolution mais pas à la fin de l'empire. La guerre d'Indochine. 1946-1954.Armée de métier. Ho Chi Minh, leader indépendantiste, va se muer en stratège militaire. Une guerre d'harcèlement et de mouvement. [...]
[...] Deux personnalités antithétiques de la gauche, l'un pensant que « l'intendance suivra » et l'autre féru d'économie, l'un militant de la première heure et l'autre non. Il s'agit de lever l'hypothèse Rocard, de montrer l'incompétence de Rocard. Rocard va désamorcer la bombe néo-calédonienne. Il va parvenir à des accords. Il va revaloriser la condition enseignante en créant les IUFM. Il pense le problème de la précarité. Création du RMI. Création de la CSG. Plan national de lutte contre le racisme. Vote de la loi Gayssot, première loi mémorielle, qui condamne le négationnisme. [...]
[...] Guy Mollet fait sa campagne sur le thème de la paix en Algérie (cessez le feu, élections et négociations). Rejet du FLN et des pieds noirs. Mal accueilli à Alger, il nomme Robert Lacoste ministre résident. Il change de point de vue et renforce sa politique en Algérie. Pouvoirs spéciaux, mesures exceptionnelles, contingent, Le FLN riposte, c'est le début de la bataille d'Alger. Robert Lacoste confie une mission de pacification au général Massu, 10ème divisions des parachutistes. La question de la torture, inhérente à la guerre d'Algérie. Canal de Suez -L'agonie du régime. Démission de Guy Mollet. [...]
[...] Mai 1968 : Conjonction de trois crises. Le pays est paralysé mars 1968 : Création du mouvement du 22 mars mai 1968 : Fermeture de la Sorbonne mai 1968 : Manifestation durement réprimée. Grève 11 mai 1968 : Le mouvement est lancé 15 mai 68 : De Gaulle annonce un référendum sur la participation 25-27 mai 68 : Négociation et accords de Grenelle 27 mai 1968 : Meeting à Charléty organisé par l'extrême gauche 29 mai 1968 : De Gaulle part à Baden Baden mai 1968 : De Gaulle reprend les rênes. [...]
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