Nicolas Ier, roi, Russie, Pologne, empire ottoman, dynastie des Romanov, Finlande
Nicolas Ier est né le 6 juillet 1796 à Tsarskoïe Selo et mort à Saint-Pétersbourg le 2 mars 1855. Il fut un empereur de Russie, un grand-duc de Finlande et un roi de Pologne, du 1er décembre 1825, jusqu'en 1855 et sa mort.
Il fut le troisième fils de Paul Ier et le frère d'Alexandre Ier. Il fut un empereur ayant appartenu à la dynastie des Romanov.
[...] RÈGNE ET MORT Le 1er décembre 1825, Alexandre 1er va mourir, malade, à 47 ans. Le 1er décembre 1825, donc, son frère Nicolas, devient donc empereur de Russie à sa place, car Alexandre 1er n'a pas d'héritier mâle pour lui succéder. Nicolas devient Nicolas 1er empereur de Russie, mais aussi grand-duc de Finlande et roi de Pologne. Au départ, ce dernier n'était pas destiné à devenir l'héritier et le successeur d'aucun membre de sa famille, en effet, contrairement à Alexandre 1er, lui était destiné à devenir un militaire. [...]
[...] Durant son règne, Nicolas 1er ne va préparer aucune grande réforme fondamentale, il va préférer travailler sur d'autres projets, permettant à la Russie et à son administration d'être amélioré. Les institutions étant vieillottes, il va donc s'atteler à les améliorer en profondeurs. Dans un premier temps, il va améliorer le contrôle de l'administration. Ce contrôle bien plus efficace, va permettre d'éviter tout abus et de les réprimer durement, s'ils existent. Il va demander à ce que soit aussi améliorée la codification des lois de l'empire. Autre amélioration, l'administration des paysans de l'empire. Grâce à toutes ses améliorations, la Russie va voir apparaître, une bureaucratie qualifiée et spécialisée. [...]
[...] Après avoir réussi à prendre les principautés Moldo-Vaques en 1853 et à les annexer à son empire, l'empire Russe va s'engager dans la guerre de Crimée, qui va durer deux années, de 1854 à 1856. Les Britanniques et les Français vont aussi s'y engager, pour faire barrage à la Russie, en soutenant l'empire Ottoman. Mais Nicolas 1er ne verra pas la fin du conflit, car il va mourir au palais d'hiver de Saint-Pétersbourg, le 1er mars 1855, après 29 ans mois et 1 jour de règne à 58 ans. Son fils Alexandre, va lui succéder et devenir Alexandre II de Russie. [...]
[...] À l'extérieur de ce dernier, Nicolas 1er va tout faire pour que la Russie s'entende bien avec l'Autriche et la Grande-Bretagne. Il va renoncer au projet militaire de son défunt prédécesseur, son frère Alexandre 1er, pour satisfaire les Britanniques et les Autrichiens et qui devait être favorable à la Grèce. Il va être au c?ur des discussions, entre la Grande-Bretagne et la France, d'un côté et l'empire Ottoman de l'autre, pour que ces derniers et les Grecques puissent signer pour une paix durable. [...]
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