Margarete Buber-Neumann, Jeunesses communistes, Allemagne nazie, Hitler, grandes purges staliniennes, Grande Terreur, répression, goulag, Gestapo, procès de Kravchenko
Margarete Buber-Neumann, journaliste et écrivaine allemande, est née le 21 octobre 1901 dans la ville de Potsdam, en Allemagne, et plus précisément dans le Land de Brandebourg.
Margarete Buber-Neumann, de son nom de jeune fille Margarete Thüring, naît dans une famille aisée. Son père était brasseur, il s'agit d'une personne qui fabrique ou vend de la bière.
Elle s'oriente très tôt vers la politique, dès son adolescence, pendant laquelle elle rejoint les Jeunesses communistes.
[...] Ils souffrent énormément de faim, de froid étant donné qu'ils sont mal vêtus et, car, dans ces régions-là, la température est très basse. Toutes les conditions sont regroupées afin que les prisonniers souffrent le plus possible avant de mourir dans d'atroces souffrances. Contre toute attente, Margarete y survit. En janvier 1940, elle est transférée de la part de Staline à Hitler dans une prison allemande à Berlin. Là-bas, elle se fait interroger par la Gestapo, la police politique de l'Allemagne nazie. [...]
[...] Margarete Buber-Neumann, de son nom de jeune fille Margarete Thüring, naît dans une famille aisée. Son père était brasseur, il s'agit d'une personne qui fabrique ou vend de la bière. Elle s'oriente très tôt vers la politique, dès son adolescence, pendant laquelle elle rejoint les Jeunesses communistes. Son histoire En 1926, à l'âge de 25 ans, elle adhère au parti communiste allemand, le KDP (Kommunistische Partei Deutschlands) ans après cela, en 1928, elle est embauchée en tant qu'employée chez Inprecor . [...]
[...] Margarete du le suivre dans sa mission. Cet exile est de courte durée, car dès 1935, avec l'arrivée d'Hitler et du nazisme au pouvoir, le couple est contraint de se réfugier à Moscou en Russie. En avril 1937, Heinz est victime des Grandes Purges staliniennes, également appelées la Grande Terreur. Différents moyens de répression sont utilisés durant cette période dont l'emprisonnement la torture, la déportation et la peine de mort. C'est alors la dernière fois que Margarete a vu son mari. [...]
[...] Elles se lieront d'une grande amitié. La libération En avril 1945, l'armée rouge c'est-à-dire l'armée russe gagne du terrain face aux Allemands. La direction du camp prend alors la responsabilité de libérer un grand nombre de détenues, dont Margarete. Une fois sa liberté retrouvée, elle va marcher jusqu'en Bavière afin de rejoindre sa famille, en Allemagne. En 1949, elle témoignera lors du procès de Kravchenko en tant que survivante au cauchemar que sont les camps. En 1975, elle rejoint le parti politique de l'union chrétienne-démocrate d'Allemagne. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture