Mines du Laurion, Xénophon, Athènes, esclaves publics, concessionnaires d’esclaves
« On a dit que quelques-uns des dirigeants Athènes…prétendaient que vu la pauvreté de masse, ils étaient forcés de manquer de justice à l'égard des autres états. C'est ce qui m'a donné l'idée de rechercher si les Athéniens ne pourraient pas subsister des ressources de leur pays, ce qui serait la manière la plus juste de se tirer d'affaire, persuadé que si la chose était possible ce serait un remède tout trouvé à la pauvreté et à la défiance des Grecs » Xénophon, Revenus
[...] Les anciennes mines sont affermées pour 3 ans les plus jeunes pour 7 ans, car il faut d'abord mettre en place l'exploitation puis ce n'est qu'après que les revenus se font sentir. Dès l'origine ceux qui travaillent dans les mines sont des esclaves. Le travail de mine est un travail de spécialiste. Il y a différente étapes pour arriver à un métal particulièrement pure. Il y a pour cela toute une activité sur le carreau des mines, c'est à ce moment-là que le port de Thorikos devient le deuxième port de l'attique. [...]
[...] C'est une location sans risque puisque si un esclave meurt il doit être remplacé. En 413 les esclaves s'enfuient, la production minière va avoir du mal à redémarrer. La cité ne s'en occupant pas les entrepreneurs non pas les moyen de remettre en état les mines. Xénophon ne prend pas en compte que prendre un affermage c'est beaucoup plus dangereux qu'au Ve siècle car l'outil de travail est en très mauvaise état. Il est risqué de plus de tombé sur un fils peut rentable ou dangereux. [...]
[...] Cette pensé qu'on trouve chez Xénophon est général chez les grec. C'est une politique pacifiste, Xénophon et Eubule savent qu'il faut entretenir une flotte, que le ravitaillement soit assurer, qu'il y est aussi tous les matériaux dont les miniers ont besoins pour travail. Ce n'est pas parce qu'Athènes n'est plus impérialiste qu'elle ne fait pas la guerre. Cela explique que les grecs résisteront à Philippe II. Les propositions de Xénophon ne seront pas misent en place, on réfléchit cependant à Athènes à ce qui peut être mis en place. [...]
[...] Celui-ci provient de l'attique et particulièrement des mines du Laurion. Ne plus mener une politique impérialiste cela permet aussi de faire des économies. Mais dans la pensé antique on ne prend pas en compte les dépenses seulement les revenu : la cité à des besoins qui doivent être assuré. A l'époque de Xénophon les mines du Laurion sont depuis longtemps exploiter, et il essaye d'imposer sa solution. Depuis 483 on a découvert un filon de Maronée, exploité jusqu'au début du IIIe siècle, Thémistocle à avancer que la cité gèrent cette argent pour créer une monnaie et mettre en place une flotte, qui assure à Athènes la mains misent sur la mer Egée. [...]
[...] Xénophon reflechi sur les moyens de se procurer des revenus pour assurer la tryphè des athéniens. A aucun moment il ne propose une augmentation de la production, que la cité investisse dans la production. La cité greque doit être considéré comme une cité de consommateurs et non de producteurs. En effet d'un point de vue éthique le citoyens ne travail pas, celui qui ne travaille pas n'est pas libre. Les esclaves sont considéré comme des meubles on en prend soin mais ce ne sont pas des hommes libre. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture