Institutions béotiennes, institutions politiques, domination Thébaine, Grèce antique, Thèbes
La confédération béotienne est basée sur 4 conseils, que l'on trouve dans chaque cité, ces conseils forment la boulè, c'est une institution oligarchique, car les tous les citoyens n'y ont pas accès.
On a 11 districts, avec 11 béotarques qui correspondent aux stratèges athéniens.
Au niveau du koinon on trouve 60 conseillers X 11 = boulè de 660 qui sert à financer les actions des béotarques. Ils organisent les prélèvements financiers. Ceux qui ont le plus de poids en Béotie c'est Thèbes qui à 4 béotarque, car ils ont pris les deux béotarques de Platée qu'elle a détruite. Ce texte est donc postérieur à 378 et c'est l'époque où les Thébains dominent le koinon des béotiens. À tel point que dans les sources on ne parle plus des béotiens, mais du clan des Thébains.
[...] Cette confédération béotienne est outils de puissance pour les Thébains. Malgré tous ces béotiens ne sont pas très nombreux ; Comme ce kionon est fonder sur des communautés ethnique elle ne peut pas s'étendre elle ne peut trouver que des allié. Cette domination de Thébes reste fragile, sa politique hégémonique a pu être mené. Le kionon va se maintenir grâce à Epaminondas mais les moyen humain ne leur permet pas de se maintenir jusqu'en 338 à la mort d'Epaminondas. Puis elle est détruite en 335 lorsque Thèbes se révoltes contre Alexandre. [...]
[...] Thèbes regroupe deux districts comme Platée et Tespice. Et on a des regroupements de cité pour former 1 district. Ce qui veut dire que les grandes cités pensent un poids plus lourds que les petites, elles vont donc dirigée la politique béotiennes. Platée a une situation particulière, car elle a tendance à vouloir rejoindre l'alliance athéniens, elle aurait combattu auprès d'Athènes lors de la bataille de Marathon les béotiens non pas confiance en elle. Chaque district confère au conseil général 60 conseillers. [...]
[...] Les bouleutes reçoivent un misthos ce qui pourrait penser que les institutions sont démocratique. Il semblerait qu'à partir de 421, le conseil fédéral est était diviser en quatre. Ces conseils auraient pour fonction de suppléer à une assemblée de citoyens. Ce conseil est un conseil souverain et délibératif, sa compétence est quasi autonome en ce qui concerne la politique extérieur, ce conseil fixe l'eisphora, celle-ci est repartit entre les différentes cités qui va par la suite les prélevé sur ces citoyens. [...]
[...] Cette infanterie légère était recrutée parmi les citoyens béotiens qui ne participaient pas à la vie politique. La démocratie béotienne n'est pas la même que celle d'Athènes la démocratie semble être celle des unes par rapport aux autres. Il y a une cours de justice fédérale qui s'occupe des affaires fédérales, c'est-à-dire des conflits qu'ils existent entre les cité, mais on ne s'est pas si elle s'occupait aussi des affaires priver par exemple entre deux citoyens de cités différentes. Ce koinon béotiens à une connotation militaire affirmé et par rapport à d'autre kioné voisin comme celui des étoliens, l'intégration des cités est beaucoup plus fort, du fait que celui-ci est constituer de cité et non de peuple II- Une domination Thébaine Les thébains sont les plus fort donc domine. [...]
[...] Ce texte est donc postérieur à 378 et c'est l'époque où les Thébains dominent le koinon des béotiens. À tel point que dans les sources on ne parle plus des béotiens, mais du clan des Thébains. Le koinon béotien au service des thébains. Les Helléniques d'Oxyrhynchos est un papyrus retrouver en Egypte en 1896, ont y raconte l'histoire des cité grecque depuis 410 et qui descend jusqu'à la fin de l'hégémonie lacédémonienne. Contrairement à Xénophon l'auteur n'est pas favorable à Sparte. [...]
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