« les courtisanes, nous les avons pour le plaisir, les concubines pour les soins de tous les jours, les épouses, pour avoir des enfants légitimes et une fidèle gardienne du foyer ». Voici la définition de la femme selon Démosthène.
La définition même d'une femme pour les athéniens est qu'elle est fille et épouse de citoyen. Il faut dire également que les femmes sont considérées comme mineures. Elles passent de la tutelle de leur père ou de leur tuteur (kurios) à celle de leur mari.
Le texte est issue d'un ouvrage nommé La Politique
[...] En effet alors qu'en 379 la cité avait la possibilité de mobilisé 8 OOO Spartiates, elle ne peut en 243 en mobilisé que 700. Il insiste sur le facteur social, puisqu'il met en évidence que l'accroissement des inégalités réduit le nombre des citoyens de plein droit, car ne son citoyen à sparte que ceux qui peuvent payer leur écot pour les syssities III- La dégénérescence du modèle spartiate Un affaiblissement général de la cité Le développement des inégalités, qu'Aristote assimile à l'oliganthropie engendre un déclin du « modèle spartiate ». [...]
[...] < number > Introduction: « les courtisanes, nous les avons pour le plaisir, les concubines pour les soins de tous les jours, les épouses, pour avoir des enfants légitimes et une fidèle gardienne du foyer ». Voici la définition de la femme selon Démosthène. La définition même d'une femme pour les athéniens est qu'elle est fille et épouse de citoyen. Il faut dire également que les femmes sont considérées comme mineures. Elles passent de la tutelle de leur père ou de leur tuteur (kurios) à celle de leur mari. Le texte est issue d'un ouvrage nommé La Politique. [...]
[...] La place de la femme à Sparte Femme et citoyenneté L'implication des femmes dans la vie économique II- La concentration des biens Dot ou héritage ? L'oliganthropie III- La dégénérescence du modèle spartiate Un affaiblissement général de la cité L'attaque du philosophe envers les femmes La place de la femme à Sparte Femme et citoyenneté les spartiates vivaient à l'extérieure, elles s'entraînent comme les hommes Gortyne, situer en Crète, les filles héritent d'une partie des biens de leur père même en présence de fils Plusieurs anciens croyaient que Lycurgue avait institué une discipline particulière aux femmes, mais Aristote démontrait la fausseté de cette opinion. [...]
[...] On peut supposer qu'il s'agit d'une déception. Alors que le système politique de Sparte se rapproche pour lui de l'idéal de la constitution « mixte » en associant l'existence d'une dignité royale (celle des deux rois qui règnent concomitamment) le pouvoir des gens de bien ( des kaloi kagathoi, susceptibles d'être recruté dans la gérousie) et celui du peuple (les cinq éphores aux fonctions annuelles recrutés parmi les citoyens). Pour autant Aristote constate que la cité est affaiblit et déséquilibré, et voit dans les femmes la source de se disfonctionnement. [...]
[...] Femmes aisées: Cléboulè (mère de Démosthène) Cette demi part de l'héritage pouvait sans doute être légué par dot, lors du mariage et si Aristote ne critique pas l'héritage des filles, il s'en prend au montant élevé des dots. II- La concentration des biens Dot ou héritage ? la dot constitue, dans la plupart des cités, l'essentiel de la part de l'héritage paternel à laquelle les filles peuvent prétendre. À Athènes, elles ne reçoivent rien à la mort de leur père : la dot est la seul part du patrimoine qui leurs reviennent. Le plus proche parent male nommé: anchisteus à Athènes et kléronomos à Sparte. [...]
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