Traduction et introduction à l'oeuvre d'Ephore. Il s'agit d'un historien grec du IVe avant J.-C. Il fut le premier à écrire une histoire universelle, tant chronologiquement que géographiquement. Ephore se distingue par son rationalisme, refusant toute intervention divine dans l'histoire des hommes. Son oeuvre, fragmentaire, pose de nombreux problèmes quant à la recherche des sources ; sa postérité sur Diodore comme Polybe est indiscutable.
[...] Gr. Hist. IIc, p [114] Cf. T T 10 [115] Cf. F 2-5 [116] Cf. F 1-6 [117] Cf T 5 [118] Jeu de mots sur le nom d'Ephore, signifiant à peu près double contribution. [119] Cf. T 3 ; Vie d'Isocrate, III p W ; Hésychius, article Δίφορος [120] Cf T 24 [121] Cf T 12 [122] Cf. F 96 [123] Texte corrompu. [124] Cf T28 [125] Cf. [...]
[...] Agêsilaos se rendit dans sa maison ; il y trouva un livre qui contenait un ouvrage sur la constitution. Il disait qu'il fallait retirer la royauté aux Eurypontides et aux Agiades, la rendre commune, et opérer un choix au sein de l'aristocratie. Agêsilaos s'apprêtait à divulguer cet ouvrage aux citoyens, pour leur révéler quel genre de citoyen était Lysandros, mais Lakratidas, un homme prudent, qui était alors à la tête des éphores, l'en empêcha : il lui dit qu'il ne fallait pas déterrer le cadavre de Lysandros, mais enterrer avec lui, au contraire, un ouvrage aussi séduisant que dangeureux. [...]
[...] Ils ont pour voisins les Khalybes et le peuple des Leukosyres. F 44 Scholie d'Apollonios de Rhodes, II 845 : Les Béotiens et les Mégariens ont fondé Héraklée sur le Pontos, comme le rapportent Ephoros, dans son cinquième livre, et d'autres auteurs. F 44 Scholie d'Apollonios de Rhodes, II 351 : Les Béotiens tenaient le pays des Mariandynes, avec Gnêsiokhos de Mégare, comme le rapporte Euphoriôn[228]. F 45 Stéphane de Byzance, article Βρύλλιον : Bryllion, cité de Propontide. Ephoros, dit qu'il s'agit de Khios Le pays s'appelle Bryllide, où l'on trouve aussi la toute petite cité de Daskyléon. [...]
[...] Les parthénies comprirent ce que cela signifiait, et suspendirent toute action ; les traîtres, par l'intermédiaire de leurs pères, les persuadèrent alors de partir fonder une colonie. S'ils s'emparaient d'un territoire satisfaisant, ils devaient y rester ; s'ils revenaient, ils recevraient le cinquième de la Messénie. Dans leur voyage, les parthénies trouvèrent les Akhéens aux prises avec les barbares ; après s'être battus à leurs côtés, ils fondèrent Tarente. F 217 (IV 642) Tertullien, De l'âme : Philippe de Macédoine, avant d'être père, avait vu le sexe de sa femme fermé par un anneau, dont le sceau représentait un lion. [...]
[...] C'est vraisemblablement ici que l'on rencontre Pindare dans les Histoires d'Ephoros, qui l'a suivi. Ephoros rapporte en effet ce qui suit : pendant la préparation de son expédition contre l'Hellade, Xerxès envoya des ambassadeurs au tyran Gélôn pour lui demander de participer à la coalition contre les Hellènes. Il envoya également des ambassadeurs perses et phénikiens à Karkhêdôn[429] pour leur ordonner de préparer une grande expédition en Sicile, d'y éliminer tous ceux qui avaient des sentiments favorables aux Grecs, puis de faire voile vers le Péloponèse. [...]
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