Titus comparé à Néron avant même qu'il n'accède au pouvoir, voilà qui n'avait rien de rassurant. Tout le monde s'attendait à voir arriver au pouvoir un empereur peu mature et qui mènerait l'Empire de Rome, le plus puissant au monde, vers la décadence. Cet Empire se cherchait encore, car incapable d'instaurer un régime politique qui pourrait enfin affirmer sa puissance et faire taire ses détracteurs.
Une dynastie s'installe en 69, celle des Flaviens, mise en place par Vespasien, le père de Titus. Celui s'installa au pouvoir lors de l'année des quatre empereurs, en 69. Il rétablit l'ordre et la paix dans l'Empire romain. En effet, il met fin à la guerre civile qui a causé tant de tort à l'Empire, il instaure la paix romaine dans l'Empire, et il réorganise l'Empire. En mourant en 79, Vespasien laisse l'Empire à son successeur, son fils, Titus.
[...] Mais le grandiose n'a pas de prix ! Il aide aussi lors des désastres, comme la peste, le Vésuve, ou l'incendie de Rome. Donc Titus, dès son arrivée au pouvoir, acquiert vite les réflexes d'un bon empereur. Il allie justice, respect et générosité. D'après les dires de Suétone, Titus est un bon empereur qui a su se démarquer de son image de jeune impétueux, et acquérir celle d'un bon Empereur. Conclusion Ce portrait de Titus fait par Suétone est dans l'ensemble plutôt positif. [...]
[...] Titus fut divinisé par le Sénat, preuve que ce fut un empereur bon et généreux, apprécié par ses contemporains. Mais son successeur, son frère, Domitien, ne connut pas le même succès. Son règne fut un des plus contestés. Car inversement à Titus, il avait de bonnes prédispositions pour régner, malgré un manque d'expérience (il avait été marginalisé par son père et son frère), mais l'accession au pouvoir fit ressortir ses défauts, il fut cruel, mauvais, méfiant Et c'est avec lui que se termine la dynastie des Flaviens. [...]
[...] Mais durant cette période de corégence, Titus ne montre pas les qualités qui font un bon empereur. Les Romains redoutent son accession au trône, à cause de la réputation inquiétante de Titus avant son accession au trône, ce sera notre seconde partie. II/Une réputation inquiétante : un second Néron ? Une idylle interdite - L9 et de sa passion bien connue pour la reine Bérénice, à qui, disait-on, il avait même promis le mariage =>Problème, car Bérénice est juive et Rome est méfiante envers les juifs, qui ont mauvaise réputation. [...]
[...] Une dynastie s'installe en 69, celle des Flaviens, mise en place par Vespasien, le père de Titus. Celui s'installa au pouvoir lors de l'année des quatre empereurs, en 69. Il rétablit l'ordre et la paix dans l'Empire romain. En effet, il met fin à la guerre civile qui a causé tant de tort à l'Empire, il instaure la paix romaine dans l'Empire, et il réorganise l'Empire. En mourant en 79, Vespasien laisse l'Empire à son successeur, son fils, Titus. Titus est l'un des trois enfants de Vespasien. [...]
[...] Il se sépare de son amour, pour rentrer dans le cadre romain. Qui respecte son peuple - L17-18 Il cessa de recevoir avec autant de générosité et même de voir en public les personnages de son entourage qui ne se distinguaient que par des talents frivoles faste s'estompe. Titus respecte son peuple, et préfère s'entourer de gens de bonne famille plutôt que d'artistes qui défrayent la chronique. Il devient un bienfaiteur plutôt qu'un débauché. - L20 Il ne causa de tort à aucun citoyen, respecta le bien d'autrui et ne reçut même pas les présents d'usage =>Titus perd de sa cruauté, il refuse de porter plainte pour lèse-majesté, il n'écoute plus les délateurs. [...]
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