Réformes militaires, fin de l'Empire romain, protectores domestici, Dioclétien, réorganisation l'armée, Constantin
Une adaptation aux nouvelles conditions de guerre est due en partie à la crise du IIIe siècle. Il y a tout d'abord un problème d'effectif, puis un problème de placement de ces armées, localisée aux périphéries de l'empire, pour finir cette armée est sédentarisée et peu mobile. Autre problème, c'est celui du commandement qui traditionnellement revenait aux sénateurs, souvent jeunes ils étaient à la tête des légions. L'une des grandes réformes remonte à cette crise et c'est l'empereur Galien qui en est l'instigateur. En 262 il décide de retirer le commandement des légions aux sénateurs et de la réserver à l'ordre équestre. Décision importante, car elle met fin à la carrière militaire des sénateurs. Mesure qui est battue en brèche au IVe siècle quand les sénateurs pourront devenir militaires.
[...] Les désertion sont fréquentes mais sont durement réprimer. Beaucoup essayent de fuir l'enrôlement, l'automutilation se développe, notamment parmi les fils de vétérans. Des lois sont prises pour les obliger à siéger dans les curies ou de fournir des recrus à leur place. On a également la fraude des propriétaires qui essayent de corrompre les recruteurs. Pour lutter contre la fraude l'état préfère qu'on lui donne une taxe et est au moins il est sur de ses troupes d'élite. L'armée vit son effectif augmenter à partir de Dioclétien. [...]
[...] Cela est dénoncer car perçu comme une imposition supplémentaire. Parallèlement le commandement militaire est réorganisé par Constantin. Il a supprimé la fonction militaire des préfets du prétoire. Ainsi ceux qui dirigent les cours palatines sont des civiles, ceux-ci ne sont pas tenter par l'usurpation. Au niveau des préfectures du prétoire apparaissent de nouveaux généraux : les maitres de la cavalerie et les maitres de la milice. Pour les limitatences elles sont gérées par les comtes, les troupes aux frontières relèvent d'une organisation provinciale sous les dux. [...]
[...] Les grands propriétaires doivent fournir des colons ou des volontaires qu'ils vont rétribuer. Cette protostatcia demeure en vigueur jusqu'au Ve siècle. Le système est modifier sous ces successeur, Constantin accepte que soit payer une taxe pour échapper à la fourniture d'homme et permettre à l'armée de payer les soldats dont elle a besoin et c'est surtout des barbares qui eux ont été formés à la guerre. Ce changement devient généralisé à partir des Valentiniens. Ceci est sensible dans la seconde moitié du Ive siècle on à la majorité des hommes de l'état-major sont barbare. [...]
[...] L'orient conserve son organisation du Ive siècle, car il donne une place principale aux soldats romains : pas de barbarisassions. A partir de Constantin il y a une réorganisation l'armée et surtout l'affirmation de l'armée de campagne, il réorganise les corps d'armée et sa localisation. En 312 suite à sa victoire contre Maxence il dissout les troupes prétoriennes cela s‘accompagne de la création des troupes palatines. Ces troupes qui remplacent la troupe prétorienne sont placées sous le chef de la chancellerie impériale. Les troupes sont à proximité du palais. [...]
[...] Une armée aussi qui se recrute en périphérie où stationne les légions : Rhin, Danube, frontière orientale, avec une armée qui prend un caractère de plus en plus international ce qui peut provoquer des crises séparatistes. Les besoins militaires avec la crise non pas cessé. Dioclétien veut empêcher le recours à une barbarisassions prononcée des troupes. Il met en place le système de la protostacia : conscription fiscale. Elle introduit l'obligation aux propriétaires fonciers de fournir des soldats. Les propriétés foncières sont évaluées en unité de compte par le cadastre. Elles sont évaluer en capitula. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture