Mutations sociales, Rome, nouvelle aristocratie, plèbes, vie municipale
La société romaine reste très inégalitaire et très hiérarchisée. La hiérarchie s'est simplifiée au IIe siècle avec deux groupes : honestiores et humiliores. Ils sont à l'intérieur eux-mêmes hiérarchisés, chez les honestories on a les sénateurs et les chevaliers sous la forme d'une véritable noblesse qui est devenue héréditaire ; ensuite on trouve les décurions, puis les vétérans des légions, puis les bureaucrates et les fonctionnaires. Les humbles représentent le reste du peuple, on a les riches commerçants et d'autre part des gens sans terre. Les esclaves forment un groupe à part. Entre ces deux groupes, il y a très peu de passage.
[...] Les curiales deviennent héréditaires, et des lois qui se répètent au Ive siècle lutte contre leur fuite. Dès 326 la procédure de l'adlectio est stopper pour les curiales. Dès 320 les curiales ne peuvent plus intégrer le clergé, la mesure est assouplit sous Constance II. En effet ils peuvent intégrer le clergé s'ils laissent au moins un fils dans la curie. Les charges des curiales sont nombreuses. Elles se réunissent dans le sénat locale : le ordo qui et gérer par les cités. [...]
[...] Le phénomène de la désertion doit être relativisé avec un effet de source. Les plèbes La plèbe urbaine à une situation privilégié par rapport la plèbe rurale car exempté de l'impôt sur les personne, en contrepartie elle doit des services publics : munera servida : sorte de corvée pour l'entretient des routes, des ponts Les membres de cette plèbe urbaine sont très hétérogène socialement, on a une partie très fortune mais qui ne peut pas rentrer dans les décurions car non pas de propriété et sont soumis au chrysargyres, et gens très pauvre et dénoncer comme responsable des désordres. [...]
[...] Cette fonction est intégrer dans le cursus honorum des cités ce qui peut la détourner de son rôle. Il y a une tentative de contrôle des curiales, mais cela échoue car elle est intègrée à leur cursus municipale. Elle est hiérarchisée. Pour être décurion il faut être propriétaire foncier. Pour les marchand artisans les biens ne sont pas comptabilisés, la curie est ainsi réserver aux propriétaires fonciers. Le cens varie suivant la cité. Ce qui fait que dans beaucoup de cité l'ordre des décurions est constitué par des propriétaires moyens : exemple du père Augustin : Patricius. [...]
[...] A partir de l'empire tardif il n'y a plus d'obligation de résidence pour les sénateurs à Rome ou Constantinople : les ambitieux qui suivent l'empereur, et d'autre part les plus modeste qui garde leur titre mais qui reste sur place. Les revenus des senteurs sont bien plus considérables que sous le haut empire. Ces sénateurs sont pour la plupart nouveau, créer par une nomination directe par l'empereur c'est le processus de l'adlectio. L'empereur peut déterminer la liste des sénateurs le sont directement du fait qu'il on exercer une charge d'autre on été ajouter à la liste par l'empereur. L'empereur va les chercher chez les chevaliers ainsi que dans l'élite des grandes curies municipales. [...]
[...] Ils envoyaient aux créancier des lettres pour qu'ils renoncent au payement de ces dettes, s'ils refusaient ils étaient capturer. Cela créer un climat d'insécurité dans toute la Numidie dans les années 30. Ces circoncellions sont des gens recrutés sur les marchés, regroupés en corporation, en ordo qui leur permettait d'agir de façon unifié et d'agir rapidement. [...]
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