Macédoine, vie politique grecque, Philippe II, Alexandre Ier, Grèce antique
La Macédoine est très difficile de la définir territorialement. On peut dire que par définition la Macédoine est le territoire contrôlé par les Macédoniens. Cela signifie qu'avant toute chose ce qui est prédominant chez les Macédoniens c'est l'armée et son chef qui est le roi. Les Macédoniens sont considérés par Thucydide comme des barbares, ces Macédoniens ne vivent en effet pas en cité, mais dans une forme de gouvernement archaïque. Hérodote est plus tendre avec eux et en parle lorsque Xerxès envahit la Grèce. D'après lui le roi de Macédoine Alexandre Ier, s'est rallié à Xerxès, est le 7e descendant d'une lignée d'Argien. Ces fondateurs de la dynastie étaient des exilés de la famille royale argienne, les Téménides et cette famille royale descendaient directement d'Héraclès. Ce type de généalogie construite est un moyen pour les Macédoniens de dire qu'ils sont bien grecs et qu'ils descendent d'Héraclès comme le roi de Sparte.
[...] Philippe est le nouveau maitre de la Grèce. Philippe II : un programme politique vaste Philippe II c'est dore et déjà intéresser à l'Asie mineure. Le grand roi sent venir la menace. Philippe n'oblige pas à avoir des garnisons seul Thèbes en à une sur la Cadmée, il ne dissout pas les confédérations, mais Athènes perd tous ces alliées. C'est Alexandre qui vient à Athènes expliquer les conditions de la paix, ces derniers s'attendent à une paix extrêmement dure. Alexandre c'est l'héritier de la couronne, ce qui est un honneur pour les athéniens, de plus Alexandre à eux pour précepteur Aristote. [...]
[...] Autour de Philippe les collaborateurs changes, mais le jour de son mariage il est assassinat. Alexandre plus ou moins écarter par Philippe, mais qui avait été régent est confronter à son tour à une crise successoral, de nouveau prétend apparaissent notamment tous le clan de la nouvelle épouse de son père. Alexandre va éliminer tous ces prétendants en affirmant que ce sont tous les comploteurs qui ont assassiné son père. [...]
[...] Il va retenir simplement le fait que ce qui compte pour une armée grecque c'est la phalange. Philippe II va créer la phalange macédonienne qui est composé d'une lance appelé sarisse très longue de 6 mètres . C'est une phalange très profonde et elle est hérissé de sarisse et une fois qu'on y rentre on a aucune chance de sans sortir. C'est grâce à cette réorganisation que Philippe II va connaitre la victoire. D'autre part Philippe va aussi s'appuyer sur la cavalerie qui est une grande force et va la coordonner avec la phalange. [...]
[...] En 346 Philippe se trouve à la tête des jeux olympique. A ce moment la Démosthène se rend compte de la force de Philippe II et incite les athéniens à reprendre la guerre. Philippe met en place des tribus en trace et fonde une cité nommé Philippe. Il avance vers l'est et menace la Garsenèse de Thrace qui appartient toujours aux athéniens. Les athéniens comprennent trop tard qu'ils ne peuvent pas se passer d'une guerre contre Philippe. Celle-ci commence en 340. [...]
[...] Ainsi il divise pour mieux régner. Philippe épargne Athènes car il songe intervenir en Asie mineure il a besoin de leur flotte. Ensuite Philippe s'occupe du Péloponnèse, il règle tous les litiges qu'il a avec Sparte. Le règlement de cette victoire va se dérouler à Corinthe en 337 lors d'un congrès qui est présidé par Philippe. Il est décidé d'une paix commune illimité, nouveauté on créer un synédrion, un conseil pour juger des litiges entre les différents états grecques, et Philippe qui n'appartient pas à la ligue de Corinthe devient l'hégémon de la Grèce. [...]
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