Mouton, homme préhistorique, homo sapiens, sédentariser, agriculture
L'homme préhistorique était un chasseur cueilleur jusqu'à ce que l'homo sapiens devienne sédentaire et développe l'agriculture il y a environ 12000 ans.
L'agriculture est née indépendamment dans plusieurs endroits du globe ou a été transmise par les migrations humaines ou par des échanges commerciaux.
Certains écologistes ont constaté que l'agriculture a débuté après la dernière glaciation, c'est-à-dire à partir de l'holocène lorsque le climat et la végétation se sont stabilisés.
L'homme en se sédentarisant a eu besoin d'avoir la nourriture à disposition, pour ne plus avoir à migrer tout au long de l'année pour chercher de quoi manger. Ce besoin l'a donc poussé à créer l'agriculture, c'est-à-dire le fait de cultiver des plantes et d'élever des animaux pour se fournir en aliments.
[...] Ce besoin l'a donc poussé à créer l'agriculture, c'est-à-dire le fait de cultiver des plantes et d'élever des animaux pour se fournir en aliments. Plante : C'est pour cela que l'amidon, qui est une source d'énergie végétale utile à l'alimentation de l'homme, a été retrouvé dans toutes les plantes cultivées initialement par les humains que ce soit en Asie avec le riz, en Amérique centrale avec le maïs et au proche orient avec l'orge et le blé. Si l'homme a cultivé ces plantes spécifiques à chaque endroit du globe c'est parce que c'était des espèces sauvages locales, donc propre au lieu et au milieu. [...]
[...] Vers le milieu du 19ème siècle l'homme a essayé de domestiquer l'autruche pour la monter ou l'atteler, sans résultat. Il y a 3000 ans les Sumériens utilisaient le guépard pour la chasse car celui-ci est un redoutable chasseur avec ses pointes à plus de 110 km/h, de plus c'est un animal très docile. Domestication du mouton : On pourrait penser que le mouton a été domestiqué pour sa viande ainsi que pour sa laine or la génétique a montré que le mouton descend du mouflon qui lui ne possède pas de laine, donc l'homme avait d'abord domestiqué le mouflon sûrement pour sa viande et celui-ci, avec la sélection au cours des générations, a évolué pour donner le mouton. [...]
[...] On a vu que certaines espèces ont été domestiquées à différents endroit du monde et ont connus des modifications relativement similaires. Ces espèces ont toutes des gènes dits de domestication. Ce qui permet à des caractères propice à l'agriculture ou a l'élevage d'apparaitre au fil de la sélection. Grâce aux connaissances génétiques acquises sur la domestication, des chercheurs essayent de trouver de nouvelles variétés d'espèces, qui seraient plus rentable pour l'Homme. En effet, la génomique permet l'identification de régions chromosomiques, de gènes et même de variantes alléliques déterminant des caractères utiles. [...]
[...] A ce jour la zootechnie permet l'amélioration de la quantité et de la qualité de laine produit, par croisement. Les cornes Les familles de mouflons femelles n'ont pas toutes des cornes. On peut expliquer cela par la domestication. A l'origine les cornes de la femelle du mouflon servent à protéger leur progéniture des prédateurs dans leur milieu naturel. Les bergers avaient fait une sélection des femelles non cornues pour l'élevage car les cornes pouvaient être une cause de blessure entre les différentes bêtes, ce qui nuirait à l'éleveur qui risquerait de perdre des bêtes suite à des blessures infectés ou à des fractures. [...]
[...] Les moutons domestiques vont du blanc au chocolat noir. La sélection pour une laine blanche a commencé très tôt au début de la domestication, et la laine blanche est devenue un trait dominant qui s'est rapidement répandu. Le gène codant pour la couleur blanche de la laine est un gène dominant hors les moutons de couleur apparaissent à nouveau dans de nombreuses races modernes, et peuvent même apparaître comme un trait récessif chez les troupeaux de moutons blancs. La quantité de laine est très variable d'une espèce à l'autre. [...]
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