Héraclite est né en 560 avant J.C. en Ionie, à Ephèse. Jeune encore, il assurait ne rien savoir. Il ne fut le disciple d'aucun maître. Il s'est, dit-il, cherché lui-même et éduqué tout seul. Son style était obscur, car il voulait que seule une élite le comprenne. « Nul n'était plus fier et plus méprisant que lui », dit de lui Diogène Laerce (...)
[...] Héraclite style style style style style style style style style style style style la Grèce ; Robert Flacelière, Les grandes études littéraires, Fayard 1962) style style(Histoire styleLittéraire styledestyle style style style style style style style Les quelques fragment s qui nous re ste nt pe rmett ent d'e ntre voir, non seulement la nouveauté e t la vigueur de la pensée d'Héraclite, mais aussi la force fulgurant e de son style bref, heurté, subtil. À noter Hé raclite éta it “l'obscur”. C'est ici qu'il faut dire : terre ! [...]
[...] en Ionie, à Ephèse. Jeune encore, il assurait ne rien savoir. Il ne fut le disciple d'aucun maître. Il s'est, dit-il, cherché lui-même et éduqué tout seul. Son style était obscur, car il voulait que seule une élite le comprenne. Nul n'était plus fier et plus méprisant que lui dit de lui Diogène Laerce. Il méprisait Homère parce que le poète avait souhaité que la Discorde disparaisse entre les dieux et les hommes, alors que pour Héraclite, le conflit était essentiel. [...]
[...] Il attaquait fré quemme nt les poètes , le s philosophes (ses prédécesse ur s et en par tic ulie r Pyt hagore Il englobe dans une même dér ision la foule, le pet it peuple, les savant le s "intelle ctuels". Tout laisse donc croir e qu'Héraclite ét ait plutôt misant hrope . Il a é té trè s vite surnommé "Héraclit e l'obs cur" par Socrate et Aris tote, à cause de s on style littéraire qui est particulière me nt pe u clair. [...]
[...] Héraclite est considéré comme l'un de s pères de la philosophie. On le considère également comme l'un des fondateurs de la métaphysique. Héraclite fait du feu le principe à la fois matière de base et raison (logos) qui organise l'univers. Héraclite pense que tout est transformation du feu : l'eau et l'air sont feu en voie d'extinction ; la terre est feu éteint. Le feu se fait donc multiple, alors qu'il est éternel mais en perpétuel devenir. La raison résout toutes les contradictions : selon Héraclite, le logos est l'explication suprême. [...]
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